Le droit d'accueil ne remet aucunement en cause le droit de grève – et vous le savez bien –, à moins que l'on ne considère que le droit de grève est un droit exorbitant de prise en otage de catégories entières de Français, en l'occurrence les familles ayant des enfants de moins de six ans scolarisés. (Exclamations sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche.)
Deuxième erreur, le droit d'accueil met le doigt sur le divorce désormais patent entre les syndicats d'enseignants, qui utilisent la grève de façon presque pavlovienne (Mêmes mouvements),…