Enfin, sur le plan des principes, je pense que les bâtiments totalement invisibles au public et non ouverts à la visite qu'évoquait M. de Courson doivent probablement se compter sur les doigts de la main. J'aurais d'ailleurs plaisir à en connaître la liste.
Mon sous-amendement vise, je le répète, non pas à supprimer un plafond mais à maintenir le droit tel qu'il est, au bénéfice du patrimoine historique français.