Je rappelle que la MILOLF, dans ses travaux de l'an dernier, a abordé la question des opérateurs – ô combien passionnante pour MM. de Courson, Brard, Carcenac et moi-même. Nous avons alors soulevé le problème de l'absence de pilotage et de gouvernance d'ensemble. Or, en matière de pilotage de l'État, les salles d'opéra et de musique sont l'un des pires exemples que l'on puisse citer ! S'agissant de leur gouvernance, c'est la cacophonie !