Franchement, M. Bayrou en la circonstance parle d'or parce qu'il vient d'exprimer ce que nous pensons ici et, bien au-delà des bancs de la gauche, ce que pense une bonne partie de l'opinion française, qui estime ne pas être représentée sur les bancs de cet hémicycle. (Exclamations sur plusieurs bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)
Il ne s'agit pas de savoir s'il faut introduire la proportionnelle. La question posée par M. Bayrou est une question de principe, non pas sur le pluralisme des expressions, comme le propose l'amendement du rapporteur, qui n'est que l'objet d'un marchandage avec quelques-unes ou plutôt une composante de la majorité pour obtenir ces trois-cinquièmes tant recherchés pour le Congrès de Versailles du 21 juillet,…