…pour savoir ce qu'est la triste réalité de l'action de l'État. Il est heureux que le financement public de la culture soit assuré aux deux tiers par les collectivités territoriales, car il n'y aurait plus, sinon, d'action publique dans ce domaine.
Vous savez comme moi que l'État est totalement absent des tables rondes qui réunissent habituellement la collectivité concernée – commune ou département –, la région et l'État. Le représentant de la DRAC n'ose même pas venir, faute d'avoir les crédits déconcentrés nécessaires pour porter certaines actions culturelles.