Nous devons donc assumer pleinement cette mesure juste et honnête. Elle s'impose dans une économie comme la nôtre.
Enfin, je rappelle que nul n'est venu à Bercy nous arracher les statistiques. Ni Mme Lagarde ni moi-même n'avons tenté de cacher quoi que ce soit. Notre principe est de transmettre les données au président de la commission des finances et au rapporteur général dès que nous les recevons. L'an dernier, cela a été fait en mars. Cette année, l'expérience aidant, nous les avons transmises plus tôt, non sur injonction mais spontanément, à charge pour le président de la commission d'en faire l'usage qu'il veut.