Je ne suis pas rassuré, en effet, monsieur le président. Je regrette qu'il n'existe plus, comme dans les années soixante ou soixante-dix, de chroniqueurs spécialisés dans le droit parlementaire, qui replaçaient l'application de telle ou telle disposition du règlement dans une perspective historique.
On pourrait ainsi s'apercevoir que le nombre d'articles sur lesquels un grand nombre d'orateurs s'inscrivent est relativement limité. Cela n'arrive que pour les mesures vraiment importantes. On l'a vu hier à propos des sanctions de l'absentéisme parlementaire.