Pour ce qui me concerne, je n'ai jamais accepté de devoir la victoire à l'appui de l'adversaire, et j'aimerais qu'on se le rappelle ! (Exclamations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)
Mais venons-en à nos propositions. Il s'agit évidemment d'amendements de repli, comme Mme Batho l'a expliqué.
Monsieur Borloo, c'est une erreur de mettre en cause Yves Cochet, d'abord parce que vous savez qu'il n'a jamais agi à rebours de ses convictions. Et surtout, quand la directive de 2001 fut prise, il n'était pas ministre ! (Exclamations et rires sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.) Il n'a donc pas pu trahir ses convictions.