Il faut croire que votre réponse n'était pas très convaincante, puisque notre collègue Didier Mathus, qui ne s'est pas absenté, est intervenu de nouveau. C'est donc que vous ne l'avez pas convaincu, et cela m'étonnerait que vous m'ayez convaincu davantage si j'avais été là.
Il s'agit à nouveau d'un amendement protecteur des libertés. Certes, nous avons bien compris que tout ce qui allait dans ce sens vous déplaisait foncièrement. S'il était encore nécessaire de démontrer que votre texte est un texte de coercition, le rejet de ces amendement y suffirait.