Nous sommes actuellement dans un total bouleversement. L'action du ministère de la culture et les crédits qui l'accompagnent ne sont plus articulés sur une offre que l'on voudrait multiple et diverse. Il ne s'agit plus de soutenir l'offre culturelle, mais de calibrer celle-ci, pour reprendre les propos du Président de la République, sur « ce qui marche », sur ce qui est censé plaire au public.