Pour ma part, cela me fait penser à une scène du Cuirassé Potemkine d'Eisenstein (Exclamations sur les bancs du groupe UMP), quand, après le massacre sur les escaliers d'Odessa, une bourgeoise vient toiser avec mépris les cadavres des révolutionnaires exécutés, qui ont eu le seul tort de se lever pour défendre la liberté. Nous tenons aujourd'hui le rôle des révolutionnaires, nous qui défendons les libertés et les pauvres gens.