Je me réjouis de l'évolution du rapporteur sur cette question depuis la réunion de la commission.
Il aurait été regrettable de ne pas faire état dans le cadre de ce projet de loi sur le Grenelle de l'environnement de l'apport des nouvelles technologies, en particulier pour la limitation des déplacements. Aujourd'hui, nous assistons à une surenchère généralisée dans ce domaine et vingt-deux millions de tonnes de CO2pourraient être économisées tous les ans si 20 % des déplacements professionnels étaient annulés au profit de l'usage de la visioconférence.