Le premier problème est assurément celui du manque d'abondement des branches, y compris de la branche famille. C'est pourquoi je suis Mme Fraysse lorsqu'elle rappelle que nous ne pouvons pas aujourd'hui développer des politiques d'accompagnement familial, ce qu'a excellemment souligné Hervé Féron dans son rapport sur la famille.
Monsieur le ministre, nous ne sommes pas discrets, nous sommes cohérents avec nous-mêmes ! C'est pourquoi nous voterons cet article dans la mesure où nous avions entamé cette démarche avec le souci de clarifier les responsabilités de chacun.
J'insiste sur le fait que nous avions été traités, à l'époque, de dangereux idéologues,…