Nous avons d'ailleurs déjà défendu cette suppression lors du débat sur la révision constitutionnelle. Il nous a été répondu que le mot « race » ne devait figurer dans nos lois qu'assorti d'une connotation négative visant précisément à éviter qu'il ne soit pris en compte. En l'occurrence, monsieur Lefebvre, vous faites exactement le contraire : le mot « race » n'a aucune connotation négative ; il est évoqué comme une référence devant permettre de développer la diversité.
D'autre part, cet amendement fait référence à la directive européenne du 29 juin 2000, qui vise à lutter contre les discriminations.