…à ces amendements.
C'est vrai que la commission Copé avait proposé initialement – mais nous étions au mois de juin, et il s'est passé des choses depuis – de retenir la date de septembre 2009. Je pourrais vous dire que l'enthousiasme suscité par cette mesure nous a conduits à aller plus vite. Je vous épargnerai cet argument.
Ce que nous avions mal appréhendé, c'est la capacité des équipes de France Télévisions à anticiper sur la décision. Dans le cadre de la commission, nous avions pensé qu'il leur faudrait du temps supplémentaire pour mettre en oeuvre la réforme. À l'évidence, dès que la commission Copé a remis ses conclusions, nous avons réalisé qu'il fallait aller plus vite, et ce pour deux raisons.
D'une part, il fallait répondre aux inquiétudes du personnel, qui souhaitait que des décisions soient prises rapidement et ne pas rester dans l'expectative. (Rires et exclamations sur les bancs du groupe SRC.)