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Monsieur le ministre, vous ne l'entendez sans doute pas ainsi mais, malgré notre véhémence et nos récriminations, nous sommes en train d'essayer de vous rendre service.
Manifestement, vous ne semblez pas en avoir conscience. Vous savez quel est l'état d'esprit de nos concitoyens et ce qui se passe aujourd'hui même. Vous savez aussi ce qui est en train de se passer à la Société générale, et allumer de tels brûlots va tout de même finir par avoir des conséquences. Or vous nous dites qu'il ne s'agit pas de bonus,...
Vous devriez, en tant que ministre, désavouer ce genre de décisions qui autorise M. Oudéa à empocher 450 000 euros en raison de la différence entre le prix auquel il s'est octroyé les stock-options et le cours des actions aujourd'hui. Une telle situation est choquante par les temps qui courent, et d'autant plus, je le répète, que la FED leur a ...
C'est faux !
Depuis quand le code du MEDEF vous sert-il de ligne de conduite, monsieur le ministre ? En tout cas, j'apprends cela avec intérêt, et je demande qu'il soit pris acte que, pour le Gouvernement, les règles de conduite fixées par le MEDEF ont désormais valeur de code. Bravo !
Il ne s'agit pas des revenus !
Et vous trouvez que c'est mieux comme ça ?
Oh ça va !
Pas de problème !
Il dit la même chose que nous, ne l'agressez pas !
Monsieur le rapporteur général, la droite est au pouvoir depuis sept ans, depuis 2002 : allez-vous répondre pendant des années encore aux problèmes quotidiens en faisant allusion à une époque révolue ? (« Eh oui ! » sur les bancs du groupe UMP.) Depuis hier, M. de Courson nous parle d'un l'amendement déposé par M. Strauss-Kahn et adopté par la...
et une partie de votre majorité sur un sujet qui, vous le savez parfaitement, est indéfendable. Monsieur Lefebvre, les chiffres cités par le président de la commission des finances sont justes. Et si nous devions choisir entre les siens et les vôtres, vous imaginez bien où nous pencherions. Sur ce sujet, vous pouvez d'ailleurs constater que l...
De tels comportements font partie de notre histoire. On entend ces arguments depuis 1789. J'appelle cela le syndrome de Coblence, et ce n'est ainsi que vous réglerez le problème. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)
Et l'Assemblée nationale ? N'est-ce pas aussi un opéra comique ? (Rires.)
Très bien !
Et l'Assemblée, monsieur Bouvard : ne l'oubliez pas non plus !
On va en faire une !
Eh oui !
Et voilà !