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Je vous l'apporterai lors de la réunion au titre de l'article 88. En attendant, je retire l'amendement.
Monsieur le président, je vous remercie d'avoir répondu à l'invitation de la commission d'enquête. Depuis maintenant dix-huit mois, vous êtes président-directeur général de la Société Générale. Votre établissement est un acteur majeur sur les marchés financiers. Aussi êtes-vous pour nous un témoin précieux, notamment au sujet de certaines prati...
Le rapport entre le PIB mondial et le volume des opérations OTC, c'est-à-dire 60 000 milliards contre 700 000 milliards selon la Banque des règlements internationaux, soit douze fois plus, est-il un critère pertinent ?
Il faut donc des intermédiaires agréés.
Des concentrations ?
N'encouragent-elles pas certaines pratiques de la part des gestionnaires ?
Êtes-vous, comme certains, pour l'interdiction des CDS nus ?
D'après nos chiffres, 70 milliards de CDS et 290 milliards de dette grecque.
Comment, alors que la croissance est faible, peut-on exiger un rendement du capital compris entre 13 et 15 % ?
Monsieur le président, merci pour vos explications et pour l'éclairage que vous nous avez apporté. L'audition s'achève à 18 h 40.
Monsieur le président Bernard Spitz, je vous remercie d'avoir répondu à notre invitation. Vous assurez depuis deux ans la présidence de la Fédération française des sociétés d'assurances. La spéculation ne revêt sans doute pas les mêmes formes dans votre secteur que dans celui des banques, ne serait-ce que parce qu'il est soumis à une réglementa...
Y a-t-il une limite en pourcentage des actifs pour les produits dérivés ?
Précisément, la discipline de fer à laquelle vous êtes astreint devrait vous permettre de promener un regard plus libre sur la spéculation.
Mais ces dispositions n'auront pas pour effet de diminuer l'investissement global des assureurs ?
Les contrats d'assurance-vie en unités de compte n'ont-ils pas subi d'importantes dépréciations pendant la crise ?
Il s'agit d'une moyenne, certains de ces contrats ont perdu plus de 50 % !
Pour en avoir reçu à ma permanence, je peux vous dire que, souvent, elles pensaient avoir affaire à un contrat verrouillé, sans risque. Leur compréhension du monde de la finance ne leur permet pas de saisir toutes les conséquences de la souscription d'un contrat en unités de compte, malgré les informations qui ont pu leur être données.
L'appréciation du risque est au fondement de votre profession. La titrisation, qui est un moyen de dissimuler le risque, ne devrait-elle pas être étrangère à votre secteur ?
Qui, dans la pratique, émet les CDS ?
Vos gestionnaires de portefeuilles pratiquent-ils, comme dans les banques, le high frequency trading, la négociation à la seconde ?