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Nous devons bientôt réunir la mission chargée du suivi de l'exécution du budget de la défense. Peut-être serez-vous alors en mesure de nous indiquer le coût de l'opération.
Je vous remercie, messieurs les ministres, de nous avoir répondu de façon claire, sans éluder aucune question.
Nous sommes réunis ce matin pour entendre les aumôniers en chef des armées en charge des cultes israélite, catholique, islamique et protestant. Je salue donc Monseigneur Luc Ravel, évêque aux armées, aumônier en chef du culte catholique, accompagné de Monseigneur Robert Poinard, vicaire aux armées, aumônier en chef du culte catholique, adjoint ...
Nous avons des yeux pour voir et des oreilles pour entendre ! Nous nous rendons compte des situations. Permettez-moi, monsieur le pasteur, de ne pas être d'accord avec vous sur les concepts de « guerre juste » et de « paix juste ». Si un combat était asymétrique, c'était bien celui mené par le gouvernement libyen, qui tirait à l'arme lourde co...
Les personnels qui s'engagent sont en effet souvent des jeunes gens en grande difficulté, qui n'ont pas fait beaucoup d'études, et ont beaucoup de mal à se faire comprendre.
Je n'ai mentionné la Libye que pour répondre à M. l'aumônier. Je ne souhaite pas créer de polémique.
Après les avoir oubliés, à mon grand regret, je présente le colonel Alexandre d'Andoque de Sériège, représentant de l'état-major des armées et membre de la division « études, synthèse, management général », et le commissaire capitaine Charles Mangier, adjoint au chef de cabinet du chef d'état-major des armées.
La Marine nationale a aussi fait évoluer son recrutement.
Merci beaucoup, messieurs les aumôniers, pour ce débat, inédit dans notre Commission et qui fera date par son extrême richesse. Le temps nous aura manqué pour mieux explorer vos missions auprès d'hommes dont l'action de combat fait tous les jours honneur à la France.
C'est comme cela que je le comprends : l'ouverture du feu se fait dans le cadre du droit français.
C'est l'ordre du jour que nous impose le Gouvernement.
Mes chers collègues, je souligne l'effort accompli par le Gouvernement, qui nous a soumis les textes que nous examinons aujourd'hui, et qui a prévu la mise en place de comités de suivi. J'adhère totalement à la volonté de Mme Adam de suivre la mise en oeuvre de ces accords et vous propose, par conséquent, que nous invitions régulièrement, à dat...
Non !
Monsieur le Premier ministre, monsieur le ministre des affaires étrangères, monsieur le ministre de la défense, en votant, jeudi, la résolution 1973, l'ONU a autorisé la France à avoir recours à la force pour mettre fin aux exactions du gouvernement libyen contre son peuple. L'accord qui a pu être dégagé au Conseil de sécurité doit beaucoup à ...
ni celui mené contre le DC-10 d'UTA au-dessus du désert du Ténéré. Les spécialistes nous assurent qu'il dispose de réseaux dormants et de réserves financières lui permettant d'organiser des frappes contre les intérêts occidentaux, notamment en Afrique. Quatrièmement, enfin, le risque que notre intervention militaire se traduise par une partit...
En effet.
Nous avons le plaisir d'accueillir aujourd'hui M. Christian Mons, président du GICAT. Je rappelle que le GICAT, qui a organisé le remarquable salon Eurosatory l'an dernier, représente 20 000 emplois directs et un chiffre d'affaires de plus de 5,2 milliards d'euros. J'observe que, malgré la crise économique, les ventes d'armement ne régressent...
Face aux pays émergents, qui commencent à disposer de technologies relativement compétitives, nous allons être confrontés à un problème de concurrence sur les prix. Nexter souhaite lancer des produits à bas coût (« low cost ») en matière d'armement. Qu'en pensez-vous ? Quelles autres mesures permettraient de faire face à la concurrence internat...
En leur en vendant dix, vous leur donnez la possibilité de les reproduire
Dans le cadre des règles actuelles et futures du commerce international, il n'y aura pas d'autre échappatoire. Si auparavant, l'Europe et les États-Unis disposaient d'une suprématie écrasante, ne laissant pas d'autre choix possible à nos partenaires commerciaux, ce n'est plus le cas aujourd'hui : les pays en développement ont besoin de faire tr...