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C'est pour cela que le 19 mars, ça ne tient pas !
C'est du harcèlement textuel !
Ça n'a rien à voir !
La réponse, c'est non !
Personne ne dit cela !
Mes chers collègues, je voudrais avant tout me réjouir que le Gouvernement et sa majorité aient respecté l'engagement pris par le Président de la République en 2007 de porter à quarante-huit points la retraite du combattant. Je voudrais éclaircir le débat qui est rendu complexe du fait des modalités de calcul de la retraite du combattant. Le b...
260 000 !
Je suis surpris que M. Desallangre imagine qu'il puisse y avoir de la mauvaise conscience à la commission dans laquelle il siège. Si c'était le cas, il y aurait sans doute de la mauvaise foi de sa part. Comment peut-on tenir de tels propos alors que nous vous proposons une amélioration ? La date est un fait générateur et le paiement s'étale six...
Si le fait déclencheur est la date du 1er avril date un peu curieuse, je vous le concède ; on aurait pu retenir le 1er mai le paiement des deux points interviendra six mois après. Ainsi, on accorde une avance aux bénéficiaires : ils n'auraient rien eu avant 2013 ; ils auront deux points en 2012.
Si c'est vrai ! Une augmentation au 1er juillet est payée à partir de janvier 2013. La date de décembre permet d'être payé six mois après.
Non, c'est six mois ! Il s'agit d'un problème de date de naissance, puisque celle-ci est le fait générateur.
Mais l'égalité n'existe pas non plus dans le système actuel. Ce que vous dites est ridicule ! (Protestations sur les bancs du groupe NC.)
Retiré !
M. Ayrault ne le savait pas.
C'est vrai !
Monsieur le président, monsieur le Premier ministre, monsieur le ministre d'État, monsieur le ministre, monsieur le secrétaire d'État, mes chers collègues, dans le contexte du printemps arabe, qui ne pouvait laisser notre pays indifférent sans qu'il renie ses valeurs, sur décision du Président de la République, nos armées se sont engagées, depu...
Cela semble vous chagriner, chers collègues, pourtant, en matière de tyrannie, vous êtes des experts. Ce qui est en jeu, c'est la place de la France dans la société internationale, la défense de ses valeurs, la cohérence de sa politique étrangère. Tout cela ne doit pas être mélangé avec les joutes de politique intérieure.
Ceux qui seraient tentés de se livrer à un tel amalgame apporteraient, par là même, la preuve de leur difficulté à appréhender les intérêts essentiels de notre pays.
Je constate cependant que l'opposition est loin d'être unie sur ce sujet. Nous intervenons en Libye au nom de la « responsabilité de protéger », comme vous l'avez dit, monsieur le Premier ministre.
Qu'il me soit permis de rappeler que ce concept a pu être intégré dans la déclaration finale du sommet de l'ONU de 2005 parce qu'il y avait un consensus dans la communauté internationale pour que des États puissent prendre des mesures contre un autre en vue de protéger les populations menacées dans cet État. Ce concept de « responsabilité de pr...