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L'État doit 60 millions d'euros à la Caisse centrale de la mutualité sociale agricole, monsieur Censi. Voilà la réalité.
Le président national pourra vous le confirmer par écrit, si vous le lui demandez. Je voudrais terminer ce débat en faisant plusieurs observations. D'abord, le système complémentaire d'assurance vieillesse facultatif, qu'on appelait COREVA dans l'agriculture, n'a pas fonctionné. C'est pourquoi nous avons voulu un régime complémentaire obligat...
Ceux qui sont affectés par l'indigence du montant des retraites, ce sont les agriculteurs qui vivent encore sur des exploitations familiales, sur des petites et moyennes exploitations.
Ce sont eux à qui on imposait des cotisations basées sur le revenu cadastral. Comme celui-ci était faible, forcément leurs cotisations étaient très faibles. Ne nions pas l'existence de ces petits paysans, ne nions pas le fait que la misère existe en agriculture, même chez les actifs puisque, dans certains départements, comme l'Aveyron, 10 % de...
La vérité, mes chers collègues, c'est que nous avons l'occasion de permettre une avancée sociale. Tout le monde a dit que c'était une mesure de justice : vous-même l'avez dit en commission des affaires sociales, vous-même le disiez en 2002. Alors, mes chers collègues, soyez cohérents et demandez au Gouvernement de faire le même effort que celu...
La prochaine fois, les communes, et les noms ! (Sourires.)
Bravo, monsieur le rapporteur !
Eh oui !
C'est ça, la réalité ! La voilà, la vérité !
Ça vous gêne, monsieur Voisin !
Qui vous croit ?
Les élections n'avaient pas encore eu lieu !
Et la directive de 2002 ? Il faut revoir les dates !
Ce n'est pas la peine d'avoir une particule si c'est pour ne pas respecter les orateurs !
C'est parfaitement exact !
On en reparlera dans quelques années !
Mensonge !
Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, ce débat s'inscrit dans un contexte particulièrement difficile pour les services publics. Des hôpitaux et des maternités qui ferment, des perceptions qui ferment, des tribunaux qui ferment, des postes qui sont supprimés par milliers, je devrais plutôt dire par dizaines de millier...
Ils copient en cela ce qu'a fait France Télécom. Les clients ne sont plus reçus à un guichet par quelqu'un qui peut s'asseoir, mais autour d'une petite table, comme dans un bar. C'est, paraît-il, une technique très moderne. Elle ne fait, pour ce que j'en ai vu jusqu'à présent, que provoquer une cohue, mais je sais qu'elle provoquera une fatigue...