Interventions de Frédéric Lefebvre
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Le parti socialiste n'a toujours pas reconnu publiquement cette erreur notamment M. Montebourg, qui continue d'expliquer que les milliers de contribuables qui reçoivent des chèques du Trésor public sont riches. Pourtant, vous vous seriez grandis à le faire. Mais il n'est jamais trop tard, et je vous engage à profiter de ce débat pour le faire...
De la même façon, nous allons mettre en place le RSA, le revenu de solidarité active. Là encore, vous en avez beaucoup parlé mais vous n'avez jamais agi.
Je propose de mettre en place le dividende salarial. Vous avez vu qu'à la SNCF, il a été mis en place par ce grand président qu'est Guillaume Pepy, qui n'est pas connu pour partager nécessairement toutes les idées qui sont les miennes. Nous allons être intransigeants pour revaloriser les petites retraites. Les bourses étudiantes le seront égal...
Je conclus. Vous l'avez compris, c'est un budget
dirigé vers la justice sociale, où l'on dépense moins, mais où l'on dépense mieux,
que nous souhaitons pour 2009. (Applaudissements sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)
Très bien !
C'est un texte équilibré !
C'est une bonne chose !
Cela correspond à 82 % des Français : l'UMP a de beaux jours devant elle !
Vous voulez donc casser le droit de grève ?
Vous auriez dû tenter l'expérience ! Vous auriez pu constater que le dispositif fonctionnait bien !
Qu'a fait M. Delanoë ?
Comment faites-vous pour les accueillir si vous fermez les écoles ?
C'est vrai !
Ce texte est la sanction des électeurs, madame Batho !
Il y a une rupture dans l'accueil ! Demandez à M. Delanoë !
Eh bien, vous organiserez demain le droit d'accueil !
Ce sont vos idées qui sont appelées à devenir marginales !
