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Permettez-moi, tout d'abord de relever à l'instar de ma brillantissime collègue Delphine Batho (Sourires) que le texte que vous nous présentez aujourd'hui est plus proche d'un catalogue de mesures diverses que d'une véritable loi d'orientation. Or, dans ces mesures, la LOPPSI est marquée par l'imprécision des éléments qui concernent la gend...
Vous nous expliquez qu'une revue des compétences de chaque force est en cours, qui doit déboucher sur un « schéma d'organisation » destiné « à limiter les doublons ». Concrètement, avec ce partage des compétences, les différentes forces ne seront donc plus généralistes, mais spécialisées. Or n'étant plus généralistes, n'étant plus polyvalentes,...
Prenons la question de la mutualisation des matériels et des moyens reprise par le projet de loi. Selon le rapport annexé, elle fixe comme but l'accroissement de ce que vous appelez les synergies entre police et gendarmerie. Quelques exemples concrets seront, me semble-t-il, particulièrement éloquents. En ce qui concerne les hélicoptères et le...
N'oublions pas le 3e RPIMA.
Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, je suis très heureuse de parler devant vous à cette heure, car je crains que, dans un quart d'heure, nos collègues de la majorité ne soient tous partis !
Je me permets d'associer à mon propos notre collègue Martine Martinel, députée de Haute-Garonne, qui devait être présente ce soir, mais qui est en mission à Marseille au nom de la commission des affaires culturelles et de l'éducation. Monsieur le ministre, vous avez affirmé que La Poste était « imprivatisable ». Ce terme est un joli néologisme...
Cela étant, comme l'a signalé Jean Mallot, cette affirmation ne tient pas la route juridiquement. Ce soir, mon propos visera à établir que ce projet de loi entérine un changement de statut qui rend possible, à terme, une privatisation. Loin de nous la tentation de mettre en cause votre bonne foi, monsieur le ministre, même si le précédent de G...
à force de malmener La Poste, je crains fort que ce ne soit vous qui tombiez de vélo ! (Applaudissements sur les bancs des groupes SRC et GDR.)
Vous êtes treize !
Tout à fait d'accord !
Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, permettez-moi de focaliser mon intervention sur le coût et le financement des opérations extérieures de la France. C'est avec un grand intérêt que j'ai écouté les propos de notre excellent collègue Louis Giscard d'Estaing avec lequel j'ai eu le privilège de rendre un rapport à l...
Au-delà de l'obscurité courtelino-kafkaïenne des textes, certaines données sont parfois volontairement voilées. Ainsi M. le rapporteur spécial nous a-t-il appris que le ministère avait décidé de classer secret défense une information qui me semble relever du contrôle parlementaire, voire du droit de savoir de nos concitoyens : il vous demandait...
Je n'ose imaginer, monsieur le ministre, qu'il existe un lien entre le refus de communiquer ces données et le débat sur l'Afghanistan que demande depuis plusieurs semaines le groupe SRC, et que, grâce à l'appui du président Accoyer, le Premier ministre nous a enfin promis. Je n'aurai pas ce mauvais esprit mais, plus prosaïquement, je crains que...
Je ne mets pas votre parole en doute, mais des chefs militaires du troisième RIMA, que j'ai appelés hier soir, m'ont confirmé que certains de leurs hommes n'avaient pas encore reçu leurs chaussures de montagne. Quand bien même il s'agirait seulement d'améliorer la vie quotidienne de nos combattants, le wellfare, ne croyez vous pas qu'ils le mé...
Non, monsieur le ministre : je vous livrerai, si vous le souhaitez, les témoignages des militaires que j'ai eus au téléphone hier soir.
Il n'est pas suffisant.
Je ne voulais pas vous fâcher, monsieur le ministre ; je souhaite seulement contribuer au bien-être de nos soldats.
Ce que vous appelez rumeurs, monsieur le ministre, ce sont des informations qui viennent du front : chacun son interprétation.
J'espère, monsieur le ministre !
Quant à l'expédition gratuite des colis depuis la France, vous me direz que cela existe, et vous aurez raison. Mais ce système est si compliqué et contraignant que beaucoup de familles ne l'utilisent pas. Ne pourrait-on pratiquer une gratuité systématique des colis expédiés sur le front, comme le font les Américains ? Puisque j'en suis aux dem...