Les amendements de Éric Raoult pour ce dossier
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Un-zéro, vous avez raison. En 1988, la circonscription de Clichy-sous-Bois, Montfermeil, Le Raincy, Livry-Gargan, Vaujours, Coubron, elle n'était pas prévue pour avoir un député de droite. Isabelle Thomas est venue se présenter dans cette circonscription. Elle arrivait en disant : « Bonjour, je suis la candidate de François Mitterrand. »
Elle a été battue, parce qu'on n'est pas le député d'un parti. On est, c'est vrai, le député d'une circonscription, mais on est d'abord et avant tout le député d'une majorité. Et moi, je fais une proposition à Daniel Goldberg. Daniel, viens dans la douzième circonscription. Elle est jouable pour le parti socialiste. C'est ce que le président Ba...
Bref, que Daniel Goldberg vienne dans la douzième circonscription. Mes chers collègues, j'ai participé à ce débat. J'ai expliqué quelle était la vérité du département de la Seine-Saint-Denis. Nous avions, c'est vrai, des difficultés. L'ancienne treizième circonscription était accolée. Il y avait une circonscription de 330 000 habitants. Elle a...
Je voudrais à présent ajouter quelques mots concernant l'outre-mer. Lorsque René Dosière est intervenu avant-hier, il a abordé, s'agissant du nouveau département de Mayotte, un vrai problème, qui est d'ailleurs plus lié, reconnaissons-le, à l'immigration et à la population qu'à d'autres sujets. Il a aussi parlé de la Nouvelle-Calédonie, et je ...
Je suis bien au courant parce que, à la demande de Xavier Bertrand et de Jean-François Copé, je suis les dossiers d'outre-mer depuis quelques semaines, et que je les suivais déjà depuis quelques mois. Le problème, chers collègues, n'est pas un problème de siège, de circonscription. Hier, en écoutant Alain Néri, j'ai eu à un moment, parce que j...
C'est vrai, Daniel Goldberg, on est gêné, parce que vous êtes un député brillant et courageux. Mais battez-vous, et vous pourrez être ici après 2012 et au-delà.
Et je voudrais dire à notre collègue Aurélie Filippetti que moi aussi j'ai été ému. Mais à un moment, je me suis plu à penser
Non, je ne prends le boulot de personne. Je me dis parfois qu'au parti socialiste, plutôt que des sièges, il vous faudrait des divans. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Non, cela n'a rien de sexuel : je pense à la psychanalyse. Il faudrait parfois qu'on vous dise des vérités, mais aussi que l'on vous dise : « Bougez-vous ! Rassemblez...
Pardonnez-moi. Oui, deux-zéro. Quand on a découpé la circonscription dont je suis l'élu, Robert Pandraud m'a dit : « Tu sais, Éric, ce n'est pas de ta circonscription qu'il faut t'occuper, c'est de ton action, de ta campagne. »
Chers collègues socialistes, si vous voulez revenir ici plus nombreux que vous ne l'êtes aujourd'hui, occupez-vous certes des circonscriptions dont vous êtes les élus, mais donnez-vous un chef (Rires et exclamations sur les bancs du groupe SRC), donnez-vous une méthode. Et à ce moment-là, vous pourrez redevenir majoritaires. Mais quand je vous ...
Mon rappel au règlement repose sur l'article 57-1. Bruno Le Roux vient de demander la poursuite du débat ; or il est douze heures quarante. Nous avons, chers collègues de l'opposition, entendu bien des insultes à l'égard de M. le secrétaire d'État.
Les propos que nous avons entendus, même si certains les ont oubliés, étaient choquants. (Approbations sur les bancs du groupe UMP.)
M. le secrétaire d'État vient de répondre avec beaucoup de clarté à l'ensemble des intervenants ; je lui signale d'ailleurs qu'il a dû égarer la fiche me concernant car il ne m'a pas répondu, ce dont je ne lui tiens aucune rigueur.
J'ai dit, monsieur Le Roux, des choses essentielles pour répondre aux collègues de Seine-Saint-Denis qui avaient oublié la réalité de ce département, collègues que j'avais rencontrés à plusieurs reprises. Claude Bartolone et moi exposerons, dans notre ouvrage, nos débats au sujet du présent découpage et d'un autre encore : celui des cantons. N'...
J'ai presque terminé, monsieur le président. Nous vous avons, chers collègues, patiemment écoutés ; il convient à présent d'appliquer notre règlement, lequel permet au Gouvernement de demander la réserve.
Vous présidez très bien, monsieur le président (Rires et exclamations sur les bancs du groupe SRC), et nous regrettons que vous ne l'ayez fait plus tôt dans ce débat : il se serait ainsi achevé plus rapidement.
Monsieur le président, M. Néri a-t-il un temps de parole de dix minutes ou de trente minutes ?
Monsieur le président, j'interviens sur le fondement de l'article 57-1. Il y a quelques instants, un député vient de traiter un membre du Gouvernement de faisan ! Au nom du groupe UMP, je demande à ce parlementaire de s'excuser. Sinon, je demande que vous informiez le président de l'Assemblée nationale de ce qui s'est passé, car tel est votre d...