Les amendements de Éric Raoult pour ce dossier
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J'informe Mme Batho que la majorité est désormais majoritaire dans l'hémicycle ! M. François Pupponi. Vous pourriez nous remercier !
Parfaitement, mon grand-père était communiste ! Mais à force que vous le rappeliez, je vais finir par me faire virer de l'UMP !
Monsieur Vaxès, « ces violences sont intolérables, elles sont inacceptables. Il faudra en retrouver les auteurs et les punir avec la plus grande fermeté ».
Avant de savoir qui a dit le contraire, laissez-moi vous dire qui a tenu les propos que je viens de vous rapporter : c'est Marie-George Buffet, à la suite des violences de Strasbourg.
C'est un fait : demander la suppression de l'article 1er revient à désavouer les propos tenus par Mme Buffet. Pour ce qui est de l'exemple donné par M. Pupponi au sujet de l'affrontement de deux bandes rivales de cent individus chacune, notre collègue sait bien que ces bandes ne comportent que quelques fortes têtes, quelques noyaux durs autour...
Ce n'est pas pour un rappel au règlement, monsieur le président, mais je demande une suspension de séance de cinq minutes (Vives exclamations sur les bancs du groupe SRC) pour que nous puissions classer tous nos amendements. Je rappelle à nos collègues du groupe socialiste qu'il y a quelques minutes, Mme Batho a demandé une suspension de séance...
Le sujet de mon amendement a été évoqué à plusieurs reprises. Monsieur le secrétaire d'État, monsieur le rapporteur, de nombreuses communes ont vécu un même type de violence urbaine : les jets de pierres contre les transports publics et notamment les autobus. À de très nombreuses reprises, mon collègue Gérard Gaudron, député d'Aulnay-sous-Bois...
Dans ce cas, aux jets de pierres succède une sorte de test dirigé contre le réseau de transport public mais aussi contre la présence régulière d'un réseau de transport. M. Claude Bartolone, président du conseil général de Seine-Saint-Denis, connaît particulièrement bien ce sujet. Il aurait pu cosigner cet amendement qui s'inscrit dans l'esprit...
La recrudescence du droit de retrait des conducteurs de bus devient inquiétante. Comme nombre de collègues, depuis 2005, j'ai rencontré des syndicalistes de la CGT ou du syndicat autonome de la RATP en Ile-de-France qui nous disent : cela ne peu plus durer ; c'est devenu un jeu de jeter des pierres contre nos autobus. Ces derniers mois, des li...
Dans un premier temps, ils approuvent le Gouvernement ; dans un deuxième temps, ils expliquent qu'ils ne votent pas pour ce texte. Pour cette raison, je suis persuadé que, pour les jets de pierres contre les transports publics, le président Bartelone va prendre le relais : il sait qu'il doit le faire s'il veut éviter que demain j'envoie son vo...
Nos collègues socialistes se battent pour expliquer les dangers et les risques de dérive que comporte l'article 3. Ils doivent pourtant savoir que notre pays n'est pas le seul où le problème de la violence masquée s'est posé.
En Grande-Bretagne, à la suite de violentes manifestations dans la banlieue de Londres, le Parlement britannique, sous un gouvernement travailliste, s'est penché sur la question. En Italie, et pas sous M. Berlusconi, on y a également réfléchi après le drame de Gênes, où des militants pacifistes étaient venus exprimer leur opposition à un sommet...
Nous avons parlé des manifestations, des cagoules, des capuches. Il y a aussi parfois le casque. Je pense, précisément, à un problème très grave dans un certain nombre de départements très urbanisés où les moyens de communication sont importants : le vol à la portière ou vol à l'italienne. En Seine-Saint-Denis, en 2008, nous avons enregistré 71...
Je retire cet amendement. Je propose néanmoins, monsieur le secrétaire d'État, que lors d'une prochaine visite à laquelle les trois députés de Seine-Saint-Denis appartenant à la majorité seront très heureux de vous convier, nous puissions sensibiliser les maires de ce département à la nécessité d'adopter la méthode Ciotti-Estrosi qui a fait di...
Il faut prononcer le « t », cher collègue ! Si cela était permis dans notre hémicycle, je vous proposerais bien de m'appeler par mon prénom. Cela ne me gênerait pas, d'ailleurs, car mon grand-père était communiste !
Madame la ministre, je vous remercie pour ces deux circulaires. Je serais par ailleurs tenté de demander à M. Pupponi et à Mme Batho d'envoyer un courrier à certains maires. Dans le département de la Seine-Saint-Denis, de nombreux maires ont en effet reçu des demandes de leurs voisins je pense par exemple aux villes du Raincy et de Clichy-sou...
Mon cher collègue, vos propos sont fondés et intéressants. Ils montrent une évolution au sein du groupe socialiste. Pouvez-vous vérifier que lors des cinq dernières manifestations étudiantes ou lycéennes que Mme Batho connaît bien, il y a eu des phénomènes de bandes à l'intérieur de la manifestation et qu'il a été nécessaire de protéger les re...
Il est important de souligner qu'il est parfois nécessaire d'intervenir lorsqu'il y a intrusion à l'intérieur des manifestations autorisées étant donné qu'une bande n'est pas une association enregistrée en préfecture.
Madame Batho, je voudrais d'abord vous poser une question. Connaissez-vous le rapport d'information n° 2832 sur la violence des jeunes en banlieue ?
Il date, je crois, de 1992. Ce rapport était lucide et prémonitoire. Son auteur n'était ni Christian Estrosi ni Éric Ciotti, mais notre collègue Julien Dray, député de l'Essonne, qui a toujours suivi les débats sur la sécurité et qui nous manque aujourd'hui. Il suscita en son temps une vive polémique vous devez vous en souvenir auprès de s...