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Interventions sur "peuple"

14 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAlain Suguenot :

...onflit, faut-il que Kadhafi soit jugé pour crimes contre l'humanité et ne pas bénéficier d'une porte de sortie vers l'exil comme le souhaite l'opposition libyenne ? Monsieur le ministre d'État, alors même que l'on nous annonce que les forces loyalistes pro-Kadhafi font reculer l'avancée des insurgés avec la reprise, aujourd'hui même, de Ras Lanouf, il devient urgent de soutenir et de protéger le peuple libyen. Pouvez-vous faire le point sur la situation et réaffirmer l'engagement sans faille du Gouvernement Français ? (Applaudissements sur plusieurs bancs du groupe UMP.)

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Pierre Brard :

Voulez-vous bâillonner, monsieur le président, les élus du peuple qui défendent les plus modestes face aux privilégiés et à leurs représentants ? (Applaudissements sur les bancs des groupes GDR et SRC.- Exclamations sur les bancs du groupe UMP.) Mes questions sont simples : le Gouvernement va-t-il geler l'augmentation d'après-demain et interdire les coupures de gaz et d'électricité ? (Applaudissements sur les bancs des groupes GDR et SRC.)

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaFrançoise Hostalier :

J'associe à ma question le député Philippe Vitel, président du groupe d'études sur l'action humanitaire d'urgence. Monsieur le ministre d'État, ministre des affaires étrangères et européennes, depuis plusieurs semaines, les peuples de quelques grands pays du monde arabe vivent une période extraordinaire de leur histoire. Si, en Tunisie et en Égypte, les événements, qui ne sont certes pas encore terminés, se sont passés en limitant les bains de sang et les atrocités que beaucoup d'entre-nous craignaient, il n'en est pas de même en Libye. Avec un courage extraordinaire, le peuple libyen est en train de gagner sa liberté, ou...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaFrançoise Hostalier :

La France, quant à elle, a pris la décision d'envoyer à Benghazi deux avions humanitaires pour secourir les populations. Sur tous ces bancs, monsieur le ministre, nous sommes unanimes pour assurer le peuple libyen de notre soutien moral et de notre encouragement, mais que peut-on faire de plus ? Pouvez-vous réaffirmer l'engagement de la France aux côtés du peuple libyen et nous dire quelles actions concrètes vous comptez mettre en oeuvre ? (Applaudissements sur quelques bancs des groupes UMP et NC.)

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Paul Lecoq :

...e votre rôle sera « tout simplement de mettre en oeuvre les orientations définies par le Président de la République ». Pourtant, l'échec de la politique étrangère menée depuis l'Élysée est cuisant. Elle nous a fait perdre toute crédibilité et a humilié notre pays sur la scène internationale. (Protestations sur les bancs du groupe UMP.) La France est tout simplement passée à côté du printemps des peuples arabes. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.) Nicolas Sarkozy a atteint le paroxysme de l'irrespect des peuples en nommant des ambassadeurs mal dégrossis ou des affidés à des postes diplomatiques clefs, sans aucune prise en compte de la compétence et au mépris des usages diplomatiques.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Paul Lecoq :

Le Président de la République a réduit les relations diplomatiques de la France à des relations commerciales, préférant faire du business avec des dictateurs plutôt que de tisser des liens avec les peuples. (Protestations sur les bancs du groupe UMP.)

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Paul Lecoq :

...Vous entendez une voix de la France forte, quand tout le monde s'accorde à dire qu'elle s'est éteinte. Une voix forte devrait appeler à une réforme de la gouvernance mondiale qui ne sert aujourd'hui que les intérêts d'un cercle fermé de grandes puissances. L'organe décisionnel de l'ONU, le FMI ou encore la Banque mondiale doivent d'urgence être démocratisés. Une voix forte devrait permettre aux peuples de bénéficier des richesses de leurs pays en incluant dans les contrats commerciaux, par exemple, une obligation de consacrer une partie des bénéfices d'exploitation de ces richesses au développement des infrastructures de santé et d'éducation. Une voix forte devrait pousser la communauté internationale à apporter une aide immédiate et concrète pour enrayer la crise humanitaire à la frontière e...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaÉtienne Pinte :

et consolider des relations économiques privilégiées que nous entretenons avec la Tunisie et le peuple tunisien, après les événements qu'ils ont vécus. Voudriez-vous informer les parlementaires de l'Assemblée nationale du contenu des entretiens que vous avez eus avec le gouvernement tunisien et avec les chefs d'entreprise français installés en Tunisie ? Nous souhaiterions connaître les besoins exprimés par les responsables politiques que vous avez rencontrés ; les difficultés économiques urgente...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJacques Desallangre :

Nous devons combattre de telles dérives si nous voulons sauver notre modèle républicain laïque. Ce nouveau traité met à nouveau à l'ordre du jour des dispositions qui ont été repoussées à une très large majorité par les Français en 2005. Vous voulez à présent les imposer par la voie parlementaire. Ce matin encore, les députés du groupe GDR ont vainement tenté de rendre au peuple la parole que vous souhaitez ainsi lui ravir. Mais en attendant, monsieur le Premier ministre, adhérez-vous à la vision du Président de la République, selon lequel une morale laïque tendrait au fanatisme ? Pensez-vous que la République doive prôner les discriminations positives et s'inspirer des convictions religieuses au risque de conduire les minorités et les communautés à s'affronter ? (Ap...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPaul Giacobbi :

...e l'efficacité sur le terrain : ce n'était pas sans risque. Vous avez eu raison aussi de dire, monsieur le Premier ministre, que s'attaquer à l'assemblée de Corse, dont je salue le président, ici présent, en l'assurant de toute ma solidarité, c'est s'attaquer à la démocratie. (« Très bien ! » sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.) Mais s'attaquer à la maison d'un élu du peuple, d'un député et je ne parle pas que de moi, hélas ! , risquer la vie de jeunes enfants de sa famille, à quelques mètres et quelques secondes près, pour le punir d'avoir dit ici les choses crûment, comment peut-on le qualifier ? Il y a quelques jours, le procureur général de Bastia a publiquement demandé que le pôle financier de sa juridiction soit enfin pourvu de trois postes d'auxiliaires sp...