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Interventions sur "étudiant"

196 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSandrine Mazetier :

Certaines mesures du paquet fiscal aggravent les inégalités entre étudiants quant à leurs chances de réussite.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaYvan Lachaud :

Afin de favoriser l'accueil des étudiants handicapés dans les universités, cet amendement prévoit la consultation du conseil sur les mesures d'aménagement utiles à prendre. Il existe en effet de nombreuses difficultés dans un certain nombre d'universités sur notre territoire.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSandrine Mazetier :

En incitant les étudiants à travailler parallèlement à leurs études, vous les conduisez à l'échec. Vos grands inspirateurs de TF1 le savent, il faut laisser aux cerveaux du temps disponible pour apprendre, assister aux cours, aller travailler en bibliothèque, se cultiver.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSandrine Mazetier :

Voilà ce qu'est d'abord et avant tout la mission de l'enseignement supérieur et de la recherche dans ce pays. Les étudiants qui ont obtenu brillamment leur diplôme et qui ont eu le temps de se cultiver sont ceux qui s'insèrent le plus facilement dans le monde du travail, pas ceux qui, harassés par vingt à trente heures de travail hebdomadaire, ont manqué des cours et échoué aux examens ! Commençons par le commencement : soyons ambitieux pour l'université, d'abord en lui donnant les moyens d'assumer ses missions actue...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Yves Le Déaut :

Je ne comprends plus : lorsque nous avons voulu prévoir des vice-présidences pour certaines catégories de personnels, le rapporteur nous a répondu que cela contrevenait au principe d'autonomie des universités et que la loi ne devait pas traiter de ce qui relève de leur organisation. Or je lis dans la rédaction initiale du texte que « le conseil élit en son sein un vice-président étudiant chargé des questions de vie étudiante et, notamment, des relations avec les centres régionaux des oeuvres universitaires et scolaires ». J'y suis tout à fait favorable et je trouve que c'est là un très bon travail de législateur. Cela m'intéresse d'autant plus que je vais proposer dans un instant un amendement tendant à installer un vice-président représentant les personnels ingénieurs, administr...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBenoist Apparu, rapporteur :

Le texte initial prévoyait déjà ce vice-président étudiant au CEVU. Nous ne faisons que le confirmer.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaNoël Mamère :

Mme Mazetier a pointé du doigt ce qui fait précisément problème. Il est intéressant d'entendre le rapporteur présenter l'insertion comme une priorité, alors que la majorité à laquelle il appartient avait osé présenter le CPE contre lequel les étudiants se sont battus ! (Exclamations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.) C'est une conception qui n'est pas à la hauteur de ce qu'attendent les jeunes de notre pays. Nous sommes très inquiets que Mme Létard, chargée de la solidarité au Gouvernement, n'ait pas dit un mot sur les outils d'insertion, non seulement pour les étudiants en difficulté à la sortie de l'université, ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaNoël Mamère :

... bancs), Mme Lagarde, en pauvre jeune fille riche, a donné sans hésiter 13 milliards d'euros à 1 % à peine de la population française ! (« Hors sujet ! » sur plusieurs bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.) Prétendre que ce projet de loi sur l'université est la réforme du quinquennat alors que vous n'y consacrez pas de moyens, c'est prendre les Français pour des imbéciles et les étudiants pour des idiots ! (Applaudissements sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche et du groupe de la Gauche démocrate et républicaine. Protestations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.)

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Yves Le Déaut :

Il s'agit de l'amendement que je viens d'évoquer. Je pense que vous nous faites un tour de passe-passe. Lorsque nous avons demandé la constitution d'un bureau où seraient représentées les catégories de personnels étudiants et IATOS, vous avez renvoyé la question à plus tard. Je vois maintenant que non seulement les étudiants sont cantonnés au CEVU, ce qui n'est pas, à mon avis, une bonne manière de traiter des problèmes de stratégie dans l'université, mais que les IATOS sont écartés de toute responsabilité. S'ils ne sont pas au conseil d'administration, qu'ils soient au moins dans le CEVU ! Avec deux représentants...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPatrick Braouezec :

J'observe surtout ceux qui connaissent bien l'université. Et j'ai pu voir qu'on est là à côté des missions de l'université. Bien sûr, elle doit se préoccuper du projet professionnel des étudiants et les accompagner. Mais y introduire une culture de résultat en matière d'insertion professionnelle, c'est dévoyer son rôle. Il ne faut pas voir dans notre amendement autre chose que cette préoccupation.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaRégis Juanico :

...conseil d'administration, nous avons relevé que les personnels IATOS étaient perdants puisque, d'une représentation comprise entre 10 % et 15 % des membres du conseil, ils baisseraient à 10 %. Vous n'avez rien voulu entendre. Nous avons alors proposé d'inscrire dans la loi que le président de l'université soit secondé dans la préparation de ses décisions par un bureau comprenant un vice-président étudiant et un vice-président IATOS. Là encore, vous avez refusé. Il apparaît donc maintenant que les personnels IATOS sont effectivement les grands perdants de cette réforme. Il serait donc souhaitable qu'au moins l'article relatif au CEVU reconnaisse, à côté d'un vice-président étudiant élu par ce conseil, l'existence d'un vice-président IATOS.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaNoël Mamère :

Cet amendement a pour objectif de maintenir à un niveau décent la représentation des étudiants. La répartition du nombre de sièges par secteur disciplinaire a été effectuée au moment de la création des universités, au début des années 70, et ne tient pas compte de l'évolution des effectifs étudiants ou de personnels. Ainsi, un étudiant en santé pèse souvent plus lourd qu'un étudiant en lettres dans les conseils. Il s'agit donc de remédier à une inégalité instaurée par votre texte.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaDaniel Fasquelle :

...s de tous à l'enseignement supérieur. En effet, plus les universités sont proches du terrain, plus elles sont efficaces et plus elles peuvent participer à l'aménagement du territoire, au développement économique et social. Beaucoup de diplômes ont d'ailleurs été créés en relation avec le monde professionnel. L'insertion professionnelle conduit aussi à faire évoluer nos diplômes, de façon que les étudiants trouvent réellement des débouchés. On ne peut avoir de solutions à nos problèmes en augmentant sans cesse les moyens donnés à l'université ; il convient surtout de mieux les mobiliser. Les universités de proximité sont justement l'un des instruments du maillage du territoire et de mobilisation des moyens permettant l'insertion professionnelle de nos jeunes. Je souhaite donc que le rôle essentie...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaDaniel Fasquelle :

L'amendement vise à compléter l'alinéa 2 de l'article 9, afin que soit pris en compte dans le calcul du nombre de représentants au sein du conseil d'administration le nombre respectif d'étudiants dans chaque secteur de formation, ce qui n'est pas toujours le cas.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaClaude Goasguen :

...espèce de chewing-gum épouvantable, qui ressemble terriblement aux difficultés que nous connaissons actuellement. Depuis 1968, quelles difficultés avons-nous rencontrées dans les universités ? Nous avons assisté à la superposition de vraies réflexions scientifiques opposant de temps à autre des disciplines plus ou moins anciennes et des problèmes matériels. Les syndicats d'enseignants, d'ATOS, d'étudiants se sont préoccupé des conditions de l'université qui se dégradaient. Cela a progressivement submergé tout le travail que nous étions censés mener comme scientifiques, comme enseignants-chercheurs au sein des universités. Les universités ont participé à ce vaste mouvement, qui caractérise un peu le syndicalisme enseignant français, que j'accusais hier sans acrimonie. La réflexion est partie de l'...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaRégis Juanico :

M. Goasguen vient de récidiver dans sa caricature du syndicalisme dans l'enseignement supérieur. (Exclamations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.) Je voudrais lui rappeler que le syndicalisme, c'est la défense des intérêts matériels et moraux des personnels du service public de l'enseignement supérieur et des étudiants.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaRégis Juanico :

...proposons une modification du mode de scrutin un mode de scrutin n'est jamais anodin concernant les représentants des personnels, en substituant à la proportionnelle au plus fort reste un système qui assure des majorités plus stables et plus constructives par le biais d'une proportionnelle à la plus forte moyenne, permettant ainsi d'éviter la dispersion des représentants du personnel IATOS et étudiants au sein du conseil d'administration. Nous souhaitons que le système à la plus forte moyenne soit la règle pour l'élection des représentants des personnels.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Marc Roubaud :

En matière de gouvernance, il ne faut pas se tromper de cible. La réussite d'un projet tient à l'adhésion qu'il peut susciter. C'est aux redondances qu'il faut s'attaquer, non pas à la démocratie ou à la participation. D'autre part, les élus étudiants doivent se voir assurer de bonnes conditions d'exercice de leur mandat : d'une part, ce sont eux les premiers concernés et les plus nombreux ; d'autre part, comme nous les députés, ils sont amenés à travailler dans de nombreuses commissions et structures. Aussi proposons-nous qu'ils bénéficient d'un nombre raisonnable d'élus : quatre ou six.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBenoist Apparu, rapporteur :

Cet amendement vise à supprimer la dernière phrase de l'alinéa 6, qui imposerait aux listes des représentants des personnels, des étudiants et des personnes bénéficiant de la formation continue d'assurer la représentation des grands secteurs de formation. Autrement dit, les grands secteurs ne devaient pas simplement être représentés dans le corps des enseignants-chercheurs, mais également chez les étudiants et les IATOS, ce qui ne va pas sans poser problème. Nous proposons de déplacer cette partie à la fin de l'alinéa 7 car cette e...