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Ça va, on ne vous dérange pas trop ? (Sourires.)
C'est un habillage !
Les produits de Bercy augmentent quand même !
Bien sûr !
Il est défendu, madame la présidente. (L'amendement n° 111, repoussé par la commission et le Gouvernement, n'est pas adopté.)
L'amendement est défendu. (L'amendement n° 112, repoussé par la commission et le Gouvernement, n'est pas adopté.)
Il est défendu. (L'amendement n° 110, repoussé par la commission et le Gouvernement, n'est pas adopté.)
Absolument !
Votre argumentation ne nourrit pas le débat, monsieur le rapporteur général ! (Les amendements nos 38, 92 et 91, repoussés par le Gouvernement et successivement mis aux voix, ne sont pas adoptés.)
C'est intéressant !
C'est bien dommage !
Et talentueux !
Regardez l'évolution du chômage !
En effet !
Tout à fait !
Absolument !
Il n'ont trouvé personne d'autres pour partager ?
Monsieur le président, madame la ministre, mes chers collègues, ce premier projet de loi de finances rectificative pour 2010 est une manière particulière pour le Gouvernement de présenter ses voeux budgétaires, annonciatrice d'une année budgétaire productrice, au moins, de lois de finances rectificatives. Sans vouloir me ranger nécessairement ...
Dans mon rapport sur le PLF 2010, en décembre dernier, j'insistais sur l'emballement en cours de l'endettement public. Je ne doute pas que vous y ayez été sensible, mon cher collègue ! Je reconnais que la conjoncture, l'écart entre le taux de croissance et les taux d'intérêt créent des mécaniques implacables dont il n'est pas simple de s'émanc...
C'est une décision délibérée d'augmenter la dette. Pis, le Gouvernement s'en félicite ! Les chiffres publiés révèlent pourtant l'ampleur du dérapage déjà réalisé. Fin décembre 2009, la dette négociable est de 1 148 milliards d'euros, soit, en un an, 131 milliards de plus, 13 % de plus, plus de dix points de PIB en plus ! De 66 % en 2008 à 85 %...