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C'est vrai !
Le centralisme n'est pas mort !
Eh oui !
C'est l'heure de vérité. Comment va-t-il s'en sortir ? (Sourires.)
C'est déjà fait !
Les affaires générales !
C'est un véritable chemin de croix pour un démocrate-chrétien, et certaines stations sont particulièrement pénibles ! (Sourires.)
Le noeud du problème !
et de ne pas mentir !
« L'État est en faillite », a dit le Premier ministre !
Vous devez parler de Neuilly !
Quelques semaines !
Vous me direz trois Pater et quatre Ave.
Un vieil adage de notre pays certainement bien connu dans le Cantal, monsieur le secrétaire d'État, comme dans le Rhône, monsieur le rapporteur veut que seuls les imbéciles ne changent pas d'avis. Comme vous n'êtes pas un imbécile, monsieur le secrétaire d'État, non plus que vous, monsieur le rapporteur, vous avez changé d'avis. En 1982, v...
Elles peuvent devenir de sérieux défauts lorsqu'elles conduisent à envisager des réformes précipitées et surtout attentatoires aux libertés locales.
Or c'est bien de l'avenir du pays et des collectivités locales que les parlementaires débattent aujourd'hui. Un tel débat aurait mérité la présentation d'un texte porteur d'une réelle philosophie politique, à l'instar des lois initiées par Pierre Mauroy entre 1982 et 1983, qui étaient animées par une vision novatrice de nos institutions.
Éclatée en quatre projets de texte différents et même cinq, si l'on compte la future loi qui devrait préciser la répartition des compétences entre les différents niveaux de collectivités , cette contre-réforme se caractérise par sa complexité alors que paradoxalement l'un des objectifs poursuivis aurait été, à entendre les représentants de l...
Le projet de loi organisant la concomitance des renouvellements des conseils généraux et des conseils régionaux constitue donc l'un de ces quatre projets de texte. L'urgence est déclarée. Voilà qui est caractéristique des méthodes qu'affectionne la majorité, soucieuse d'accélérer et de multiplier les réformes, fussent-elles malvenues, plutôt q...
Plusieurs motifs justifient le rejet du texte que vous proposez. Le premier de ces motifs se fonde sur la méconnaissance des conditions qui entourent l'examen de ce texte. Le travail législatif est méprisé, une fois de plus : ce n'est pas, en effet, le premier exemple qui nous est donné de cet effacement des droits du Parlement au profit d'un...
Je ne veux pas vous interrompre, monsieur le secrétaire d'État, dans votre réflexion avec le rapporteur.