Interventions en commissions d'Alain Claeys

Que pensez-vous de la procédure accélérée que l'ANR a mise en place pour le dépôt de brevet ?

Ces réseaux sont-ils dynamiques ?

L'Assemblée permanente des chambres des métiers et de l'artisanat est un observateur précieux, et, je l'espère, un acteur important des pôles de compétitivité. À l'origine, la création de ceux-ci répondait à deux ambitions du Gouvernement : la première, territoriale, consistait à ancrer localement des interfaces entre la recherche et les entrep...

Quelle différence faites-vous entre une structure de regroupement et une structure de soutien ?

Une telle démarche, nouvelle pour nous, vous a-t-elle conduit à engager des moyens nouveaux ?

Un pôle de compétitivité peut servir une petite entreprise à trouver des débouchés commerciaux, à participer à de la recherche-développement sur des niches et, peut-être, à partager une propriété intellectuelle. Concrètement, dans les pôles où vous êtes impliqué, qu'est-ce qui domine ?

Avez-vous été sollicité par les auditeurs mandatés par le Gouvernement ?

Il me semble qu'en France, deux étapes de la vie de l'entreprise sont particulièrement délicates : la naissance, bien sûr, et la transformation de la petite entreprise en une entreprise moyenne capable d'exporter. Les pôles de compétitivité peuvent-ils aider à passer ce cap ?

À quoi les attribuez-vous ?

Si la croissance repart, les PME en seront le moteur.

C'est un point important, et vous êtes le deuxième à mettre l'accent sur le problème de la formation. Considérez-vous qu'il n'est pas pris suffisamment en compte par les pôles de compétitivité ?

Pour vous, qu'apporte un pôle de compétitivité ?

Même si vous nous avez dit qu'une petite entreprise n'avait pas sa place dans un pôle de compétitivité.

Avez-vous eu l'occasion d'en parler à des représentants de l'exécutif ?

Les grandes entreprises sont-elles sensibles à cet aspect ? En prenant l'exemple d'Airbus, l'avionneur s'est-il entendu avec ses sous-traitants pour pallier les difficultés de formation de la main-d'oeuvre ?

Bien que la chaudronnerie propose des métiers bien payés, les sections de formation ne sont jamais pleines et il manque des chaudronniers sur le marché. Comment faites-vous pour impliquer les petites entreprises ?

Avez-vous l'impression que l'éducation nationale est réceptive ?

Vous pilotez tout de même d'importants crédits de formation. À ce titre, vous pesez sur leur orientation.

Serait-ce souhaitable ? Avez-vous évoqué cette possibilité avec certaines régions ?

Avez-vous connaissance que certaines chambres régionales des métiers participent au financement de projets de pôles de compétitivité ?