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Il faut qu'il soit largement ouvert !
Il est bon que l'assurance maladie ait rappelé aujourd'hui qu'il fallait résoudre d'urgence ce problème, dont nous débattons depuis bien longtemps. L'assurance maladie s'alarme des dérives tarifaires des médecins ; de fait, il y va de l'accès des Français aux soins, et à des soins de qualité. À l'origine, on ne savait pas bien si le secteur op...
C'est à cette condition que le secteur optionnel sera crédible et que nous résoudrons cette difficulté.
Déjà !
Il faut que l'UNOCAM joue son rôle !
Les cotisations d'assurance ne doivent pas augmenter non plus !
C'est vrai !
Eh oui, monsieur Mallot.
C'est indispensable !
Tout à fait !
On va vite aboutir.
Exactement.
Cet amendement vise à revenir sur la question de l'ordre infirmier. La création de cet ordre repose sur un véritable malentendu entre le Parlement et les infirmiers et infirmières. On a pu croire, à un moment donné, que cet ordre était vraiment attendu par la profession. Finalement, compte tenu des conditions de sa création et du montant des c...
ne recueille pas l'adhésion de la très grande majorité des infirmiers et infirmières. On compte à peu près 500 000 infirmiers et infirmières en France, dont 70 000 libéraux environ. Les infirmiers et infirmières salariés ne comprennent pas qu'on puisse les obliger à adhérer à un ordre qu'ils n'ont jamais souhaité. L'idée avait été avancée qu...
Aujourd'hui, il est donc en grande difficulté financière on parle de dizaines de millions d'euros de découvert financier.
Qui va payer ce passif ?
Nous avons deux possibilités, mes chers collègues : soit, nous rendre à l'évidence et constater que les infirmières et infirmiers ne souhaitent pas réellement cet ordre il faudra alors en tirer toutes les conséquences soit, nous en remettre aux créanciers, qui se chargeront peut-être de faire un sort définitif à cet ordre. Parallèlement, i...
Je ne vais pas retirer mon amendement, sous prétexte que l'illusion nous empêche de voir que la profession se manifeste clairement contre un ordre qu'elle n'a jamais demandé en n'adhérant pas à cet ordre.
Je ne vois pas où est la démocratie dans le fait d'imposer à 500 000 infirmières un ordre qu'elles n'ont jamais souhaité ! Par ailleurs, je ne crois pas un instant qu'un ordre auquel l'on cotise pour quinze euros soit viable.
Soit nous attendons que les créanciers se manifestent ce qui arrivera nécessairement avec des cotisations à quinze euros et que l'ordre se retourne alors vers les pouvoirs publics pour demander de l'aide ; soit cet ordre parviendra à prospérer grâce à l'adhésion des personnels salariés ; soit enfin, il aura recours aux voies judiciaires pou...