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1187 interventions trouvées.

Nous accueillons M. Pierre Fender, directeur du contrôle-contentieux et de la répression des fraudes à la Caisse nationale d'assurance maladie des travailleurs salariés. Nos auditions nous ont permis de constater que la question des toxicomanies était, pour partie, liée à celle des mésusages de médicaments ou de détournement de traitements, en...

Le facteur déclenchant le contrôle est donc une posologie de buphrénorphine haut dosage supérieures à 32 milligrammes par jour ?

Pour revenir au nombre de 150 000 personnes cité par Mme la rapporteure, peut-être convient-il de préciser qu'il s'agit du nombre d'usagers « problématiques » d'opiacés, sachant qu'entre la moitié et les deux tiers d'entre eux reçoivent une prescription de traitement de substitution aux opiacées, dont 40 000 sous méthadone.

Peut-on avoir une idée du prix brut des traitements de substitution aux opiacés ?

Le risque est-il le même avec le comprimé le plus faiblement dosé 1 milligramme ?

Pour lutter contre les mésusages, peut-on améliorer les ordonnances sécurisées ? L'Ordre des pharmaciens a fait allusion à des prescriptions électroniques. Est-ce envisageable ?

La présidente du Conseil national de l'ordre des pharmaciens, elle-même pharmacienne dans le 18earrondissement de Paris, nous a dit combien, venant de Corbigny dans le Morvan, elle s'était retrouvée dans un monde nouveau.

En liaison avec le développement professionnel continu, la Caisse nationale d'assurance maladie des travailleurs salariés ne pourrait-elle pas mettre en place un guide de la prescription et de la délivrance ?

 - S'agit-il de détenus sous traitement de substitution avant l'arrivée en maison d'arrêt ?

 - Vous êtes bien les seuls ! L'alcool et le vin sont-ils interdits dans le règlement intérieur ?

 - Les comprimés de Subutex sont-ils bien distribués à l'infirmerie en présence du personnel de l'administration ?

 - Le service de santé, que j'ai récemment visité, est en effet impressionnant !

 - On parle de trafics de médicaments psychotropes, que l'on donne à des détenus atteints d'angoisse, de dépression Ces médicaments sont largement distribués par le service médical dans des conditions plus habituelles que pour les autres traitements. On dit qu'on les pile pour en faire une sorte de « drogue du pauvre »...