1187 interventions trouvées.
- Monsieur le Commissaire, de quels changements législatifs auriez-vous besoin dans votre travail ?
- Ce stage s'adresse bien à des jeunes qui commencent à faire usage de drogues et porte sur les dangers de la consommation ?
- Pouvez-vous nous le décrire et nous dire qui le suit ?
- Pourrez-vous nous faire parvenir une de ces fameuses clés USB ?
- On a évoqué la possibilité de dépénaliser certaines drogues dites « douces ». Le ministère a-t-il une opinion sur ce point ? Existe-t-il des réflexions ou des comparaisons avec des pays étrangers qui auraient déjà accompli ce pas ?
Recevoir les caractéristiques génétiques par courrier quelques jours après l'envoi d'un échantillon biologique coûte environ 125 dollars, et les prix ont été « cassés » durant la période de Noël. J'ai l'impression que nous nous battons contre des moulins à vent !
En France, une recherche de paternité ne peut être menée sans autorisation d'un juge. Que faire contre les personnes qui enfreignent la loi ? Les sanctionner ? La disposition serait inapplicable. Il faut plutôt les mettre en garde.
La semaine dernière, M. Jean-Michel Costes, directeur de l'Observatoire français de lutte contre la drogue et la toxicomanie (OFDT), a dressé devant nous un tableau de la consommation actuelle de drogue en France ainsi que de ses principales tendances. Aujourd'hui, monsieur Étienne Apaire, vous nous exposerez la politique française de lutte con...
Comme il le sera, ne préjugez pas de ses propos !
Je vous prie de bien vouloir conclure.
Nous entendrons un certain nombre d'intervenants à ce sujet.
Elles ne constituent pas, en tout cas, l'objet de notre mission, qui est consacrée, je vous le rappelle, aux toxicomanies.
Les degrés d'information dont disposent les parlementaires mais, également, le grand public étant très divers, essayons d'avancer.
Des représentants des services de police, de la justice et de la santé seront bien évidemment entendus.
Je le répète, notre mission n'est pas dédiée aux salles d'injection !
Les présidents de l'Assemblée nationale et du Sénat ont souhaité que les parlementaires soient informés le plus largement possible. Votre opinion personnelle nous intéresse beaucoup, certes,
ainsi que celle du Gouvernement, mais nous aurons l'occasion de recevoir, par exemple, M. Frédéric Péchenard, directeur général de la police nationale. Vous ne représentez pas le Gouvernement à vous tout seul
Je vous prie d'autant plus de bien vouloir conclure que vous interviendrez tout à l'heure en tant que président du Groupe Pompidou, dont la dimension est européenne.
Nous prévoyons de vous poser quelques questions à ce sujet !
Madame Michèle Delaunay, les raccourcis sont toujours dangereux !