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Oh, nous vous connaissons, monsieur le président !
Ah ! Le mot est lâché !
Nous sommes d'accord !
Monsieur Garrigue, il faut vivre avec votre temps : nous sommes au XXIe siècle. Je vous donne simplement une information : l'an dernier, Istanbul était capitale européenne de la culture ; pour l'exposition consacrée à Topkapi, il y avait deux files : l'une pour les Européens, où l'on payait l'entrée vingt euros ; l'autre pour les Turcs, où l'on...
Oh, de ce côté-là, nous n'avons pas de leçons à recevoir ! M. Montebourg, avec sa démondialisation, faisait plaisir à l'extrême gauche comme à l'extrême droite : c'est vraiment le grand écart.
Mais peu importe. Je voudrais simplement répéter ce qu'a dit Charles de Courson : pourquoi y a-t-il, depuis 2007, des crédits de préadhésion ? Je n'ai toujours pas reçu de réponse à cette question ! Tout le monde me dit que la France est contre l'adhésion de la Turquie à l'Union européenne, mais on continue à donner de l'argent au titre de la ...
En revanche, je voudrais poser une question simple : croyez-vous vraiment qu'aujourd'hui la France a les moyens de dépenser ces crédits ? Si c'est le cas, je n'ai rien compris à ce projet de loi de finances.
Et je n'ai rien compris non plus à ce qu'on dit nos gouvernants, le Premier ministre, le ministre des finances, la ministre du budget. Avons-nous encore les moyens ? Alors que nous demandons à nos concitoyens de se serrer la ceinture, on continue à donner de l'argent à la Turquie mais la Turquie, elle, en a-t-elle besoin ? À écouter M. Pinte...
Vous non plus !
Vous ne pouvez pas changer de disque ?
Vous non plus ! Avec vous, on est toujours au XIXe siècle !
Les temps changent et le monde évolue, mes chers collègues, mais les problèmes auxquels sont confrontés les hommes restent les mêmes.
Aujourd'hui comme hier, force est de constater que la situation financière de notre pays est difficile, et ce pour plusieurs raisons. Pour y remédier, peu de solutions s'offrent à nous : soit augmenter les recettes, soit diminuer les dépenses, soit combiner les deux et trouver ainsi un plus juste équilibre. Le Gouvernement a choisi cette trois...
celui d'agir sur la dépense plutôt que sur les prélèvements obligatoires, tout en protégeant les publics les plus fragiles. Depuis 1974, aucun Gouvernement n'a voté ni exécuté un budget en équilibre. De l'avis même de la Cour des comptes, la moitié de notre déficit est l'héritage de trente années de laxisme budgétaire, et 40 % du déficit est ...
qui a bouleversé nos finances publiques.
Tous les gouvernements ont leur part de responsabilité dans cette situation.
En particulier ceux qui ont bénéficié d'une forte croissance et qui n'en ont pas profité pour réduire les dépenses publiques
Je pense notamment aux années 1997-2002.
Non, je n'y étais pas et c'est pour cela que vous avez fait des erreurs.
Néanmoins, la majorité a fait le choix de ne pas trop augmenter les impôts tout en trouvant de nouvelles recettes, sans pour autant baisser les dépenses de solidarité ni renoncer à engager des réformes structurelles ainsi la réforme des retraites. Je tiens à souligner l'ampleur de la réduction des déficits prévue par ce projet de loi de fina...