Les amendements de Pierre Méhaignerie pour ce dossier
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Madame Lemorton, nous apprécions votre travail au sein de la commission des affaires sociales, mais je dois dire, après vous avoir écoutée, que tout ce qui est excessif est vraiment dérisoire.
Si je comprends ce que vient de dire Jean-Marie Rolland, je voudrais cependant équilibrer ses propos en soulignant deux priorités que nous ne devons pas perdre de vue. La première est la maîtrise de la dépense de santé pour les patients, que ce texte est de nature à permettre. La deuxième est la remise en question d'un certain nombre de rentes ...
Je voterai cet amendement, Valérie Boyer le sait. J'ai entendu Mme la secrétaire d'État parler d'un deuxième plan de lutte contre l'obésité. Je suis très méfiant car, à force de multiplier les plans, nous constatons, dans ce domaine comme dans d'autres, un empilement de structures c'est une maladie française , au point qu'on ne sait plus qu...
Les propos de M. Jardé recèlent une grande part de vérité. Nous ne réussirons pas les agences régionales de santé si elles dépendent autant qu'aujourd'hui des administrations centrales, car cela rend impossible de prendre en compte la diversité des régions étant impossible. J'entends parler d'alourdissement possible et de rigidités, mais la rig...
La commission a donné un avis défavorable. Je rappelle que cette disposition avait été adoptée en PLFSS et confirmée au Sénat avec l'accord du Gouvernement. Malheureusement, le Conseil constitutionnel l'avait censurée par la suite. Cela dit, il est vrai qu'elle ne concerne qu'un nombre très réduit d'officines
En ce qui concerne la forme, M. le ministre nous a demandé que cet article soit examiné ce soir, dans la mesure où il ne pourra être présent demain après-midi. D'ailleurs, nous ne savons pas combien de temps durera la séance de demain. Or il tenait à être présent pour la discussion de cet élément important et je l'en remercie.
Je le remercie également, en ce qui me concerne, pour cette heureuse conclusion. En effet, c'est un sujet difficile, qui est revenu un grand nombre de fois devant la commission, sans espoir de voir se concrétiser une issue heureuse. Comme l'a dit Mme la rapporteure, c'est un soulagement pour beaucoup de professionnels et de patients. Enfin, po...
Nous mesurons que nous discutons d'un point vital pour l'avenir de la santé sur les territoires. D'ailleurs, la solution choisie sera beaucoup plus efficace que les mesures contraignantes.
je sais que cela résout beaucoup de problèmes. Cela étant, je voulais aborder trois points. Premièrement, il faut mettre les médecins dans le coup, parce que certaines maisons ont été créées avant que les professions médicales et paramédicales y aient été associées.
Deuxièmement, il faut éviter la surenchère sur les financements : nous sommes tout de même face à des professions libérales qui peuvent dégager des moyens financiers.
Sur un territoire isolé, la subvention peut atteindre 30 ou 40 villes. Cependant, accorder des subventions dans des villes de 20 000 ou 30 000 habitants, je ne crois pas que ce soit le rôle ni des collectivités locales ni de l'État. (« C'est vrai ! » sur les bancs des groupes UMP et NC.) Ma troisième observation porte sur le financement des 25...
Ce n'est pas de l'angélisme mais la prise en compte du fait qu'une profession libérale n'a pas besoin non plus d'être financée à 80 % avec des dépenses ou des participations à des déficits de fonctionnement.