844 interventions trouvées.
Il le faut !
Et la mutuelle Saint-Christophe ! Voilà bien un amendement centriste !
Nous aussi, nous y tenons beaucoup !
Nous sommes évidemment pour la transparence, les uns et les autres.
En l'occurrence, disposer ici, au sein du Parlement, des comptes consolidés de l'ensemble des organismes de complémentaire maladie n'est pas inutile. Cependant, cela mérite quelques précisions. S'agit-il uniquement des mutuelles ? Les organismes de prévoyance et les sociétés assurantielles sont-elles aussi concernées ? Les mutuelles sont codifi...
Est-ce constitutionnel ?
L'ACAM est une autorité indépendante !
Quel argument !
Nous avons assisté, il y a quelques jours, à une forme de mélodrame, pour ne pas dire d'incohérence, entre ce que nous disait ici même, à l'occasion de l'examen du projet de loi de finances, Éric Woerth s'agissant de ce chèque-transport, et ce que nous disait, au même moment, en commission des affaires sociales, M. le rapporteur en défendant so...
On a vu comment les banques en ont usé !
Vous créez une taxe par mois : nous sommes d'accord !
Avec le succès que l'on sait !
Quelle audace ! (L'amendement n° 66 n'est pas adopté.)
En 2007, l'ACOSS a encaissé 331,2 milliards d'euros, soit une hausse de 5,3 %. Pour l'essentiel, cette évolution des recettes est liée aux reliquats de la soulte des cotisations familiales de La Poste et de celle de France Télécom. Cependant, dans son rapport, l'ACOSS explique cette croissance de 5,3 % du panier de recettes fiscales par un meil...
Il faut le faire tout de suite !
Une augmentation de 30 % !
Pourtant, vous n'en faites pas mention à l'article 1er.
C'est vous qui le dites !
L'article 2 renvoie au rapport de l'annexe A décrivant les mesures prévues pour l'affectation des excédents et la couverture des déficits constatés sur l'exercice 2007. À l'annexe B, le rapport décrivant les prévisions de recettes et de dépenses pour les quatre années à venir se fonde sur diverses hypothèses macroéconomiques pour fixer le reto...
Seulement l'équilibre n'est pas là, et jamais l'endettement n'a été aussi important. Lorsque Alain Juppé présentait son plan en 1995, il évoquait un déficit cumulé de 150 milliards de francs ; nous approchons aujourd'hui les 150 milliards, mais nous parlons en euros ! Nous sommes prêts à comprendre que le pays s'endette si les emprunts d'aujou...