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...vous parler d'apiculture, mais l'Institut technique de l'apiculture française a enfin été mis en place. Il lui reste maintenant à se prendre en main. J'aurais pu, en tant qu'ancien directeur d'une organisation de producteurs de fruits, vous parler de contractualisation. J'y suis extrêmement favorable. Mais compte tenu de mon temps de parole, je préfère concentrer mon propos sur l'agriculture de montagne.
Cela ne vous étonnera pas de la part du président de la commission permanente du Conseil national de la montagne. D'autres collègues l'ont fait avant moi, notamment Vincent Descoeur, secrétaire général et bientôt président de l'Association nationale des élus de la montagne.
Inutile de vous rappeler, monsieur le ministre, les handicaps naturels auxquels sont confrontés les agriculteurs de montagne, qui nécessitent une politique spécifique. Inutile de vous rappeler le rôle majeur de la politique herbagère dans les zones de montagne : vous le connaissez. Inutile également de vous rappeler la pression foncière en zone de montagne, notamment dans certains hauts lieux touristiques d'hiver ou d'été, où la pression est au-delà de ce que l'on peut imaginer. Je salue ce texte, car tous les outil...
Ce campagnol, le plus gros qui soit présent en France, vit en montagne, pèse 130 grammes, et a la particularité de renouveler 80 % de son eau cellulaire, non pas en buvant, mais en mangeant 80 % de son poids chaque jour. Cet animal est d'autant plus sympathique qu'il se reproduit deux mois après sa naissance et fait quatre à six portées par an, chacune de quatre à six petits en moyenne. Un simple calcul mathématique donne donc le résultat suivant : à partir de deux...
Je vais en effet défendre cet amendement au nom de la commission du développement durable. Nous avons tous le souci de tenir compte de la spécificité des territoires ruraux, et notamment des zones de montagne, pour lequel un organisme a fait ses preuves. Il s'agit du comité de massif. Notre commission propose qu'en cas de projet de fusion de deux départements, celui-ci soit saisi pour avis simple, sans pour autant empêcher la fusion qui serait envisagée par les deux conseils généraux. Il s'agit d'un avis simple, qui nous semble opportun.
Je voulais remercier très sincèrement le rapporteur et le Gouvernement. Cela fait six mois, depuis le début de l'élaboration de ce texte, que nous discutons sur ces questions de seuil et, à titre personnel, je crois que l'amendement qui nous est proposé par le rapporteur correspond parfaitement à l'attente et à la demande des élus de la montagne. S'il appartient peut-être à d'autres de s'exprimer au nom de l'ANEM, je tiens à dire, au nom du Conseil national de la montagne, qui avait pris position en ce sens, que l'amendement en question répond parfaitement à l'attente des acteurs de la montagne.