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Les médecins de ville n'auraient pas été capables de gérer cela dans leur cabinet quand des infirmières, et même des élèves infirmières, le faisaient dans les centres de vaccination ?
Si les médecins et les infirmières de notre pays n'en sont pas capables, il y a de quoi s'inquiéter pour notre système de santé !
...lation et on ne peut pas s'en dispenser si on veut éviter le « syndrome de Tchernobyl » , il faut s'attendre à ce genre de réactions car elle ne possède pas les compétences pour analyser cette information dans le détail et la moduler comme il serait nécessaire. Elle ne s'y intéresse d'ailleurs souvent pas. Et sa réaction ne peut qu'être exacerbée lorsque l'information est inquiétante et que les médecins, qui seraient les seuls à même de la rassurer, ne savent eux-mêmes pas répondre. Dans la perspective d'une prochaine pandémie, il faut réfléchir aux moyens, sans rien lui cacher, de ne pas effrayer la population et permettre que des relais fonctionnent, notamment auprès des professionnels de santé, afin que la sérénité l'emporte et qu'on évite les dérapages qui ont eu lieu dans cette campagne. ...
Un éditeur, pour gagner de l'argent, cherche à accrocher les lecteurs. Lors de cette pandémie, ce sont des médecins eux-mêmes qui ont parlé de dizaines de milliers de morts
Autant je suis d'accord avec vous, monsieur Salamon, pour dire que, quelles que soient les frustrations ressenties par les médecins généralistes d'avoir été écartés de la vaccination, leur rôle était de conseiller leurs patients,
Cette organisation vaut-elle pour l'ensemble de la France ? Paris dispose peut-être de plus de médecins et d'infirmières scolaires que les départements du nord-est de sa petite couronne, par exemple.
Comment s'est imposé le principe de la mise en place de centres de vaccination ? Quelle a été la contrainte qui a été déterminante pour ne pas associer les médecins libéraux dès le départ ?
L'argument du conditionnement n'est pas convaincant comme ne l'ont pas été ceux, entendus également ici, sur l'absence de réfrigérateur dans nombre de cabinets de médecins généralistes, sur leur impossibilité à regrouper leurs patients par dix,
Pourquoi n'a-t-on pas permis aux médecins volontaires de faire partie du système, en leur proposant d'aller chercher les vaccins dans les centres, au lieu de procéder à des réquisitions ?
Retirer 3 000 médecins du circuit ne préserve pas l'offre de soins.
Vous êtes donc responsables de la réquisition des médecins ?
Cela veut dire que, fin août, la présence des médecins n'était pas prévue ?
Monsieur Chassang, comment se passaient les réunions en question ? Avez-vous des comptes rendus ? Pourquoi cette désorganisation, alors que vous aviez multiplié, tout au long de l'été, les réunions dans un certain nombre de départements : des médecins absents, des infirmiers remplacés par des pompiers, des horaires d'ouverture changeant du jour au lendemain, etc. ? Notre objectif est de savoir comment faire la prochaine fois. Nous sommes conscients que si 50 millions de Français avaient voulu se faire vacciner, on en aurait été incapable, en tout cas selon cette procédure.
J'ai quatre questions récurrentes depuis le début des auditions. Premièrement, un médecin libéral est-il capable de regrouper par dix des patients pour les vacciner, dès lors qu'on lui donne la dose ou qu'il va la chercher quelque part ? On nous a déjà répondu par la négative, en avançant notamment des problèmes de conservation, ce qui me paraît assez surprenant. Deuxièmement, pouvait-on envisager la vaccination dans un centre médical, de quatre médecins, par exemple ? Pourquoi une t...
Vous voulez donc dire qu'à côté des centres de vaccination, les médecins du secteur libéral qui le souhaitaient seraient venus chercher des vaccins qu'ils auraient utilisés au gré des rendez-vous qu'ils fixaient ?
Ce n'est pas ce que je veux dire. Est-ce que les médecins de ville auraient pu, concrètement, aller chercher leurs dix vaccins pour la journée, tout en conservant la traçabilité ?
De ce que j'entends aujourd'hui, l'Ordre et les syndicats ont une position très différente sur la question de savoir si l'on aurait dû pouvoir se faire vacciner chez les médecins libéraux.
Des étudiants en médecine sont-ils disposés à témoigner par écrit du fait qu'ils auraient été contactés par des sociétés privées pour être réquisitionnés par l'État ?
Je vous demande de faire parvenir à l'Assemblée, à la présidence de la Commission d'enquête, des témoignages d'étudiants en médecine qui auraient été réquisitionnés, pour le compte de l'État, par des sociétés privées.
Cela signifie qu'on n'a jamais établi une liste des étudiants en médecine des différentes facultés pour s'en servir comme fichier. Le problème a été traité université par université.