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Vous m'éclairerez à ce sujet, madame la ministre, j'en suis persuadé, en me répondant tout à l'heure. Au Nouveau Centre, nous nous réjouissons de cette mesure qui reconnaît la formation des professions infirmières en leur offrant la possibilité de passer en catégorie A et, de fait, de bénéficier d'une revalorisation salariale. Cette avancée est méritée. Nicolas Sarkozy, notre Président de la République,
lorsqu'il était candidat à la présidentielle, avait répondu dans une lettre datée du 2 mai 2007 qu'il souhaitait que les négociations engagées puissent aboutir « dans les meilleurs délais à la reconnaissance du diplôme d'infirmier au niveau de la licence » et s'engageait à « permettre, au-delà de la réévaluation générale du diplôme à bac +3, à certaines spécialités infirmières de bénéficier d'une reconnaissance de niveau bac +4 voire bac +5 (niveau Master) par le biais de la validation des acquis de l'expérience et, au besoin, de formations complémentaires ». Ce projet de loi met donc en oeuvre cette promesse,
Je salue à mon tour l'esprit dans lequel notre commission d'enquête a travaillé. Elle a rempli ses objectifs, qui étaient de faire la lumière sur les conditions de libération des infirmières et du médecin. Je regrette en revanche que des représentants libyens et qatariens ne soient pas venus devant nous. La Libye s'est privée d'une tribune qui lui aurait permis d'expliquer son attitude. Nous avons, au terme de nos travaux, la certitude qu'il n'y a pas eu de contrepartie financière à la libération des infirmières et du médecin. Il est également certain que la visite en France du col...