433 interventions trouvées.
Contrairement à ce qu'a dit Mme la ministre, ce budget n'est pas un budget de crise. C'est un budget dans la crise, mais il ne répond pas aux enjeux de la crise. Il manque de sincérité sur la croissance et les déficits et ne répond pas aux enjeux de la crise, qu'ils soient économiques ou politiques. C'est pourquoi je vous demande d'adopter cett...
C'est normal, vous étiez au pouvoir ! Tout s'est écroulé quand vous êtes arrivés !
Ah ! C'est le bouclier fiscal qui va nous sauver !
C'est ce qui se passe quand on baisse les impôts !
Cela prouve qu'il n'y a pas d'amélioration !
Il évite d'y penser !
Cela sera bientôt du passé
Les collectivités n'en verront pas la couleur !
Madame la présidente, monsieur le ministre, monsieur le président de la commission, monsieur le rapporteur général, monsieur le rapporteur, mes chers collègues, je voudrais, par ces quelques mots, contribuer à un débat auquel on ne donne pas toute l'importance qu'il mérite, surtout dans la période actuelle. Alors que l'Europe, et donc la Franc...
Ce ne sont pas les membres de l'orchestre qui sont en cause, et surtout pas son premier violon budgétaire, dont on connaît le sérieux.
Mais le Gouvernement ne change pas son discours, quand tout change autour de lui. Alors qu'il s'agit aujourd'hui de s'interroger sur les hypothèses sur lesquelles construire le budget pour 2009, vous fermez à demi les yeux sur la situation actuelle. Alors que le gros de la crise est encore devant elle, la France y entre en mauvaise santé. Sa ...
..que révèlent aussi bien les outils statistiques que les simples conversations que nous pouvons avoir, que nous soyons de droite ou de gauche, avec nos concitoyens : eux nous disent la vérité de la situation telle qu'ils la ressentent. Mais ce ne sont pas seulement le pouvoir d'achat et la confiance des ménages qui se dégradent, c'est la comp...
En effet, le pouvoir d'achat des Français n'est pas simplement celui des ménages : c'est aussi celui des collectivités locales et de l'État. Or vous ne parlez que de la dépense, là où on pourrait tenir un discours offensif sur la capacité à peser sur la situation actuelle. Tel est le constat de l'opposition, monsieur le ministre. Nous n'avons ...
Mais non !
Pourquoi avez-vous voté les franchises médicales, alors !
J'espère, monsieur Chartier, que vous avez lu la presse, ce matin !
Ça se voit à votre visage ! (Sourires.)
Il faut lire la presse jusqu'au bout !
De très petits chiffres par le bas, et de très gros par le haut !
Et avant, il y en avait combien ?