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Baratin !
Oh la la !
Il n'arrive même pas à y croire !
Insupportable !
Parlons-en, de sa valeur !
Affligeant !
C'est un bon début !
Tout va bien alors ?
Sinon d'avoir le plaisir de vous voir madame la présidente ! (Sourires.)
Nous sommes d'accord sur le fait que cette proposition de loi apporte un plus. Si nous sommes tous sensibles aux arguments qui viennent d'être développés, je ferai toutefois observer, pour ce qui est de l'idée selon laquelle nous essaierions de sauver le cinéma dans son ensemble, que nous n'avons pas besoin le sauver : il se porte plutôt bien d...
Madame la présidente, monsieur le ministre, madame la secrétaire d'État, monsieur le rapporteur, cette proposition de loi s'évertue à désigner comme seuls coupables de l'absentéisme scolaire les parents irresponsables, et propose de les punir en supprimant les allocations familiales. Ce procédé emblématique de la méthode présidentielle j'esp...
Tel Diafoirus et les médecins moqués par Molière, vous avez cru trouver la panacée à la maladie de l'absentéisme. Pour vous, un seul remède. Ce n'est pas la saignée, mais ça y ressemble : l'unique remède, c'est la suppression des allocations familiales.
Vous êtes le Diafoirus des temps modernes : un prescripteur de purges qui consistent non pas à chercher la cause de la maladie, mais à appliquer de vieux remèdes inefficaces qui font impression sur l'opinion. À coup de saignées, Diafoirus et les siens tuaient souvent le malade ; à coup de lois « foireuses », vous allez finir par achever notre ...
L'absentéisme est un problème de politique d'éducation, certainement pas un problème d'allocations. Pourtant, le manque de professeurs est l'une des causes de l'absentéisme. Vous répondez : « Mais non, il faut supprimer les allocations ! » Sur l'orientation subie, et le fait que les jeunes ne se sentent pas à l'aise, qui sont parmi les causes ...
Bien au contraire, d'autres maux vont se développer : stigmatisation des parents en difficulté, familles démunies encore appauvries, adolescents à problèmes développant une haine encore plus grande du système éducatif.
Chez Molière, le malade était imaginaire et les médecins étaient des charlatans. Aujourd'hui, le malade est bien atteint mais vous êtes encore, vous, en train de pratiquer une politique de charlatan !
Simplification, spectacularisation, émotion, confusion, compassion : tout y passe. Réfléchissez, monsieur le ministre, à cette formule d'Einstein
Madame la présidente, je suis en train de conclure.
Dommage pour la santé publique !
Je conclus quand même, puisque vous me l'accordez.