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Pas du tout, ce n'est pas une horreur, nous nous battons pour que l'entreprise reste à Amiens. Vous voyez que nous ne sommes pas chauvins. Aujourd'hui, cette direction, soutenue par votre politique
Si vous voulez, monsieur Copé. En tout cas, c'est, à coup sûr, une politique de régression sociale. Aujourd'hui, les salariés de Goodyear dont vous n'avez sans doute rien à faire dénoncent un accord, avec 500 licenciements à la clé, imposant une nouvelle organisation du travail en 48 qui ne leur permet plus d'avoir une vie de famille. Vous...
On laisse faire ces délocalisations car c'est de cela qu'il s'agit , qui permettent aux actionnaires de réaliser des profits toujours plus colossaux et aux dirigeants d'empocher leurs stock-options et, ensuite, on stigmatise les chômeurs en prétendant qu'ils ne voudraient pas travailler. Eh bien non !
Le groupe GDR votera donc la question préalable, car ce texte est un mauvais projet, qui stigmatise les chômeurs. Il y aurait du chômage en France parce que les chômeurs ne veulent pas avoir du travail ! Ce n'est pas acceptable ! Imposer aux salariés des baisses de salaire successives
En effet !
Madame la ministre, monsieur le secrétaire d'État, ce texte est le quatrième volet d'un projet de casse qui en comporte cinq. Le premier volet est la recodification du code du travail, que l'on pourrait nommer aussi « réécriture du code du travail ou histoire des droits amoindris », car vous avez manqué à vos engagements. Vous avez profité en ...
Ces mots d'une rare violence sociale sont l'une des conséquences de votre politique et de celle des gouvernements successifs de droite depuis 2002. Votre projet de loi, madame la ministre, stigmatise les demandeurs d'emploi, car vous partez du présupposé selon lequel un chômeur trouverait plus facilement un emploi si on limitait ses droits et s...
Je remercie le rapporteur au Sénat d'avoir écrit dans son rapport : « Les organisations syndicales ont exprimé leur opposition à ces dispositions. Elles regrettent que le Gouvernement ne leur ait pas laissé la possibilité de négocier sur ce sujet et estiment que le projet de loi jette une suspicion sur l'ensemble des demandeurs d'emploi. » Ce n...
Notre groupe n'a malgré tout que peu d'espoir, car il ne s'agit pas ici de satisfaire aux exigences du patronat mais de répondre aux attentes légitimes des salariés, ce qui est pour le moins différent. Où est donc passé votre déterminisme ? Le Gouvernement se vantait, il y a peu encore, de sa capacité à développer le dialogue social et à l'éco...
Je me souviens également l'avoir entendu dire dans ce fameux exercice d'autocongratulation qu'était son intervention sur la modernisation du marché du travail : « La réalité, c'est que ce dialogue social bien portant et si longtemps attendu est enfin au rendez-vous. » Eh bien, je crains que, sur le sujet qui nous concerne aujourd'hui, le Gouver...
La Commission européenne donne de cette responsabilité sociale la définition suivante : « L'intégration volontaire par les entreprises de préoccupations sociales et environnementales à leurs activités commerciales et leurs relations avec les parties prenantes. » Beau projet en apparence ! On a même assisté à l'élaboration de chartes de bonne co...
Je conclus, monsieur le président. Il faut dire que les employeurs n'ont aucune raison de faire progresser leurs engagements, puisque l'État lui-même manque à ses obligations ! Votre gouvernement participe en effet d'un grand mouvement de déresponsabilisation. On ne peut pas compter sur une charte pour protéger les salariés.
Monsieur le président, ne soyez pas plus royaliste que le roi !
Les députés communistes ne sont pas, vous le savez, des partisans de l'époque où les employeurs se comportaient en bons pères de famille, avec un paternalisme parfois étouffant, mais il nous semble impératif de revenir à une situation où les salariés faisaient l'objet d'une réelle reconnaissance. La vie dans l'entreprise était faite alors de so...
En abordant la question du chômage et du retour à l'emploi, nous aurions pu et nous aurions dû, dans un débat plus long, aborder frontalement la place de l'entreprise dans la société avec ses différentes composantes. Mais, vous ne le voulez pas. Madame la ministre, vous aurez compris que les députés communistes et républicains et le groupe GDR...
Vous voyez : c'est bien plus qu'en France !
Parlez-nous des États-Unis !
Ah, vous êtes content ! Ça se voit !
Et voilà !