Interventions en commissions de Maxime Gremetz
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L'histoire n'est pas une science mais la recherche permanente de la vérité à partir de faits en croisant les regards. Une science est figée et formule des définitions qui se transforment en dogme. Or tout est en mouvement. Ce qui est sûr, c'est que l'histoire existe et que les historiens travaillent, à partir de matériaux variés. Des recherche...
L'histoire n'est pas une science mais la recherche permanente de la vérité à partir de faits en croisant les regards. Une science est figée et formule des définitions qui se transforment en dogme. Or tout est en mouvement. Ce qui est sûr, c'est que l'histoire existe et que les historiens travaillent, à partir de matériaux variés. Des recherche...
Je l'ignorais !
Je l'ignorais !
Il faut bien qu'il en ait de bonnes de temps en temps ! (Sourires)
Il faut bien qu'il en ait de bonnes de temps en temps ! (Sourires)
Non : ce sont les masses !
Non : ce sont les masses !
Ici, c'est donc celle de Sarkozy.
Ici, c'est donc celle de Sarkozy.
Il vous en voulait terriblement !
Il adore l'URSS ! (Sourires)
En France aussi, avec les fêtes des métallos, des mineurs, des pompiers
C'est exact.
Y a-t-il adéquation entre fait et vérité historiques ? Si oui, qui en décide ?
Une vérité relative.
Déjà ! Ouvrier et Picard ! (Sourires)
Qu'est-ce qu'on fait, là ?
Pourquoi prenez-vous en grippe la loi Gayssot ? Ce n'est pas l'Histoire qui est en cause, mais bel et bien « la lutte contre le racisme et la xénophobie ». Si nous n'avions rien fait, nous aurions été en dessous de tout.
Le Parlement, en tant qu'émanation du peuple, représente aussi la République. Néanmoins, il n'est pas question d'instrumentaliser l'Histoire et nous aurions tout intérêt à parler plus souvent de cette « vérité historique » qui, si l'on s'en approche toujours, ne s'atteint jamais. Ainsi certaines analyses historiques sont-elles aujourd'hui caduq...
