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J'ai bien la légitimité de le faire, et de vous raconter ce que nous vivons tous les jours.
Je ne m'énerve pas !
C'est étonnant. Dès que l'on s'oppose à un ministre, vous nous soupçonnez de nous énerver. Je ne m'énerve pas, je suis en train de vous montrer ce que c'est, censément, que le « progrès ». Le « progrès », c'est qu'une enveloppe circule pendant plusieurs heures, dans trois véhicules, avant de parvenir à son destinataire le surlendemain, et après...
Et lorsque j'ai demandé des explications, on m'a parlé de rationalisation, de modernisation, de procédures supprimant le plus possible l'intervention humaine. Nous sommes capables de comprendre cela, monsieur le ministre, car nous ne sommes pas totalement dépourvus d'intelligence. Mais quand j'ai posé la question : « A-t-on progressé dans le se...
Monsieur le président, monsieur le secrétaire d'État chargé du logement et de l'urbanisme, mes chers collègues, depuis un an, notre pays traverse une crise économique qui pénalise fortement le pouvoir d'achat des Français, déjà bine malmené auparavant. Leurs difficultés pour faire face à leurs dépenses quotidiennes s'aggravent et le logement co...
C'est pour cela que l'agriculture va si bien !
Qu'est-ce que c'est un islam laïc ?
Dont la loi de cohésion sociale !
C'est scandaleux !
Elle s'impose parce que la gauche est majoritaire : quel beau symbole !
L'année 2000 ne nous intéresse pas ! Parlez-nous d'ici et maintenant !
Eh oui !
Il y a aussi une nuance sur le qualificatif « sociaux ».
Le Conseil d'État, c'est une minorité de poids !
Monsieur le secrétaire d'État, il y a peut-être les fausses bonnes idées, que vous imputez à l'opposition ; il y a assurément les constats des mauvaises politiques, celles du Gouvernement en particulier, inacceptables parce que ce sont nos compatriotes qui les subissent. Pouvons-nous espérer que vous serez le premier, après vos cinq prédécesse...
Si vous siégez sur ces bancs quand la gauche sera revenue aux affaires, vous assumerez votre responsabilité d'élu en pressant de la même façon vos successeurs. Si l'opposition devait purement et simplement acquiescer à l'action du Gouvernement, elle ne serait plus une opposition.
Ce n'est pas le cas ! Vous le constaterez avec mon intervention. La crise du logement, prégnante depuis de nombreuses années, s'aggrave, dans un contexte de crise économique généralisée. Si le diagnostic est partagé, l'adoption de mesures urgentes et appropriées s'impose avec d'autant plus d'acuité. La proposition de loi du groupe GDR vous inv...
se fourvoyant dans des dispositifs fiscaux non ciblés. Résultat : l'État ne contribue plus qu'à hauteur de 3 % aux plans de financement pour les logements sociaux, alors qu'il en manque tant.
Je maintiens ce chiffre : ouvrons le débat ; si vous me traitez de menteur, cela m'autorise à vous retourner le compliment. Dans ma modeste commune, ce taux de 3 % n'est même pas atteint.