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Je voudrais dire à Jérôme Cahuzac pour lequel j'ai beaucoup de respect car il a un grand talent
qu'il poursuit sa route, mais qu'il doit comprendre que sa route n'est pas la nôtre. (Rires.)
Et lorsqu'il veut dicter sa conduite à la majorité, il franchit la ligne jaune. Qu'il parle pour lui, pour Emmanuelli, Brard et consorts, parfait ! Mais il n'a pas pouvoir de parler pour moi. Alors, qu'il cesse !
Plus il en rajoute, plus je vais dans l'autre sens. (Rires.)
L'excès de talent peut être contre productif, cher Jérôme Cahuzac.
La solution, proposée par le rapporteur général, consiste à voter l'article 3 tel quel. Point à la ligne et nous verrons ensuite lors de la réforme des chambres de commerce ce que nous ferons les uns et les autres.
C'est une conclusion qui vaut pour moi, cher Jérôme Cahuzac, mais sûrement pas pour vous. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)
Les éditions Grasset veulent publier mes mémoires. Je vais leur dire qu'ils peuvent s'adresser à vous ! (Sourires.)
Très bien !
Très bien !
Il n'y a plus aucune cohérence dans tout ce que nous faisons. (Murmures.)
Aucune cohérence ! Et les amendements et sous-amendements que nous examinons sont dépourvus de toute simplicité. Chacun ici défend les professions avec les représentants desquelles il entretient quelque relation. Or les professions libérales méritent autant de considération que les autres.
Il n'y a plus aucune cohérence dans tout ce que nous faisons. (Murmures.)
Au point d'enfoncement des finances publiques auquel nous sommes parvenus, je trouve la solution proposée par M. de Courson raisonnable : on gardera un demi-doigt au-dessus de l'eau ; de toute façon, la tête des finances publiques est engloutie, et pour des années et des années !
Aucune cohérence ! Et les amendements et sous-amendements que nous examinons sont dépourvus de toute simplicité. Chacun ici défend les professions avec les représentants desquelles il entretient quelque relation. Or les professions libérales méritent autant de considération que les autres.
Au point d'enfoncement des finances publiques auquel nous sommes parvenus, je trouve la solution proposée par M. de Courson raisonnable : on gardera un demi-doigt au-dessus de l'eau ; de toute façon, la tête des finances publiques est engloutie, et pour des années et des années !
Alors, faisons ce geste ! Que nous coûte-t-il : 50 voire 80 millions d'euros ? Les enfants ! (Rires.) Au point où nous en sommes, alors que, mois après mois, nous ajoutons allègrement plusieurs milliards aux déficits, faisons au moins en sorte que les professions libérales, dans ce naufrage
puissent maintenir un doigt, seulement un doigt, en dehors de l'eau.
Alors, faisons ce geste ! Que nous coûte-t-il : 50 voire 80 millions d'euros ? Les enfants ! (Rires.) Au point où nous en sommes, alors que, mois après mois, nous ajoutons allègrement plusieurs milliards aux déficits, faisons au moins en sorte que les professions libérales, dans ce naufrage
puissent maintenir un doigt, seulement un doigt, en dehors de l'eau.