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Monsieur le président, monsieur le ministre, mes interrogations coulent de source. Dimanche se tenaient les élections européennes.
Les prochaines auront lieu dans cinq ans, en 2014 ; il s'agit de la même durée que celle couverte par le présent texte. Pourquoi donc, monsieur le ministre, au cours de la campagne électorale, le Gouvernement et les responsables politiques ont-ils pris un soin méticuleux à ne pas parler de l'Europe de la défense ?
Dans cet ordre d'idée, je me pose la question de savoir pourquoi on ne trouve pas le moindre mot sur l'Europe de la défense dans le texte que nous examinons.
Je trouve cette absence des plus inquiétantes. Nous avons en effet voté le retour de la France au sein du commandement intégré de l'OTAN je n'étais pas de ceux qui y étaient favorables , retour qui devait s'assortir, nous avait-on garanti, de la poursuite de la construction de l'Europe de la défense. Or cette question a été aussi peu abordé...
Ensuite, monsieur le ministre, quid du second porte-avions ? Nous demeurons tous très attentifs à cette question. Un des orateurs précédents a affirmé que la décision de le construire serait prise en 2010 ou 2011 ; j'ignore où il a bien pu le lire puisque nulle part je n'ai moi-même lu ni entendu dire que le Gouvernement allait nous l'annoncer ...
Avec quelle traduction législative ?
Et à ce moment, est-ce que nous quitterons l'OTAN, monsieur le ministre ?
Mais il est important.
Sous Chirac, ce n'était pas le néant, monsieur le ministre. Nous n'avions pas de base, et cela ne nous a pas empêchés de ne pas aller en Irak. Nous avions une vraie politique étrangère.
Non, pas dans Édouard Balladur.
Pas n'importe comment !
Bravo !
Il est vrai, madame le ministre, que l'article 24 a suscité un émoi, aussi bien sur les bancs de l'Assemblée que parmi les élus locaux, les vignerons et les viticulteurs. Il n'y a pas de majorité sur la rédaction originelle de l'article. Il y en aura une large, en revanche, sur l'amendement consensuel de la commission. Une vraie entente de la r...
Rappel au règlement !
Arrêtez, monsieur le président ! Arrêtez au nom de la République ! Jamais Chirac n'aurait accepté cela ! Aucun Président ne l'aurait accepté !
Nous partageons tous la même émotion : la façon dont un journaliste a été arrêté puisqu'il faut bien utiliser ce terme est inacceptable dans une démocratie sereine. Aussi notre assemblée devra-t-elle interroger le Gouvernement de façon très précise.
De tels événements ne sauraient se reproduire. Le secret des sources est aussi important que le mutisme des résistants que l'on presssait, pendant la guerre, de dénoncer leurs camarades. Notre démocratie a le devoir absolu de protéger la liberté de la presse. Le consensus qui, je l'espère, se dégagera dans les prochains jours au sein de notre a...
Monsieur le président, j'ai lu, comme d'autres collègues certainement, Le Point n° 1888 qui est sorti aujourd'hui, 20 novembre 2008. Une journaliste y cite, page 42, certaines phrases qu'elle impute au Président de la République. Naturellement, je ne fais aucun procès d'intention ni au Président de la République ni au Gouvernement, pas plus que...
Oui, mais c'est d'une gravité extrême !