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C'est le terme qui convient : leur religion est celle du veau d'or !
Monsieur le ministre, à l'occasion de cette réforme, vous avez pris la décision de diviser par deux le rendement de l'ISF, qui est actuellement de 3,7 milliards d'euros, et de faire un cadeau de près de 2 milliards d'euros supplémentaires aux plus fortunés. Toutes vos acrobaties pour nous faire accroire le contraire n'y changent rien. Cette déc...
Je demande la parole pour un rappel au règlement.
M. le ministre a terminé son intervention en disant qu'il s'était efforcé d'être « sincère et objectif », ce qui tient de l'incantation.
Mon cher collègue, vous avez un sacré culot de prétendre connaître la conclusion de mon propos, alors que je viens à peine de prendre la parole ! Cela augure mal du débat ! La bataille contre l'enfumage est engagée, et quand le ministre parle d'un texte simple et compréhensible par tous, je dois dire que ce n'est évidemment pas vrai ! Or, pour...
de comptes !
Bien sûr, c'est un vrai compliment !
Je demande la parole pour un rappel au règlement.
Monsieur le ministre, vous n'avez toujours pas répondu à ma question, mais je vous tiens au mollet comme un pit-bull, et je ne vous lâcherai plus ! Oui ou non, madame Bettencourt a-t-elle payé jusqu'à présent 40 millions d'euros d'impôt, et va-t-elle payer seulement 10 millions d'euros à partir de maintenant ?
C'est simple, c'est de la pédagogie politique ! J'attends une réponse de votre part, monsieur le ministre, pour que le masque soit arraché et que, derrière votre perpétuel sourire, nos compatriotes voient la réalité de votre politique !
Ah ! Le début de la vérité !
Ce qui n'est pas vrai !
Très bien !
Et encore, officiellement !
Il était pourtant très bon !
Ce que vient de dire notre collègue Charles-Amédée de Courson est fort intéressant car ce qu'il souhaite qu'on ne fasse pas pour les oeuvres d'art, il est possible de le faire pour les appareils de télévision !
Ce n'est pas la question. Ai-je ou non raison, mon cher collègue ?
Vos états d'âme subsidiaires ne nous intéressent pas ! Or je vois bien qui vous voulez protéger.
Ce sont des châtelains,
qui trouvent un plaisir secret dans la contemplation solitaire d'oeuvres d'art qu'ils veulent garder pour eux tout seuls ! (Sourires.) On nous dit que, si jamais l'on taxe les oeuvres d'art et je précise que nous ne proposons pas de changement quant au caractère déclaratif , celles-ci vont partir à l'étranger