Interventions en hémicycle de Jean-Pierre Brard
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Mais non !
Mais non !
Grâce aux déclarations de polices d'assurances !
Oh là là !
Tout cela est de mauvaise foi !
Un grand amateur d'art !
Et alors ?
L'école de la Renaissance !
Pour celle du milieu, c'est normal ! (Sourires.)
Ces arguments sont, dans l'ensemble, mal assis. Je suis étonné de la référence proudhonienne de Christian Jacob, qui n'a jamais été notre tasse de thé je parle bien entendu de Proudhon, pas de Christian Jacob ! C'est tout à fait frappant quand on visite les très belles expositions présentées par exemple à la Pinacothèque ou au musée Jacquema...
Même les collectionneurs étrangers sont très contents d'être connus à Paris ! Tout cela ne tient donc pas la route. Nous ne sommes pas là pour organiser les détails de la mise en oeuvre. Pour cela, il y a le Conseil d'État. En vous écoutant tout à l'heure, monsieur le ministre, je me disais que vous aviez un vrai talent d'improvisateur. Mais,...
Comme l'a dit tout à l'heure le président de la commission, tous les gouvernements, qu'ils soient de droite ou de gauche, ont eu la même position, parce qu'en réalité votre position n'est pas la vôtre : c'est celle qui se décide dans les cocktails où des gens, qui appartiennent à ce qu'ils pensent être la bonne société, une coupe de champagne à...
Voilà !
Et comment s'appelait-il ? Faites attention, on va vous traiter de fils à papa !
Eh oui, comme d'habitude !
Bien sûr !
Eh oui !
C'est vrai. Il a tout compris !
Monsieur le président, la transparence de nos débats est très importante pour leur bon déroulement. Cet après-midi, j'ai dit que Mme Bettencourt, qui payait jusqu'à présent 40 millions d'euros d'impôts, n'en paierait plus que 10. M. le ministre, avec ses mots très particuliers qui font qu'à la fin de son propos vous ne savez plus sur quelle pl...
Attention, vous pourriez glisser sur la savonnette !
