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Madame la présidente, j'espère que nos débats de ce soir seront autant suivis que ceux de la loi Création et internet, parce que cela vaut toutes les démonstrations sur la fiabilité du discours du Gouvernement.
Il n'est pas fiable, il n'est pas transparent. Ou, plutôt, la façon dont vous maniez les formules montre que l'on ne peut pas vous faire confiance.
Un dialogue direct venait de s'instaurer, madame la présidente, ce qui n'est pas si fréquent.
Mais, madame la présidente, nous n'avons pas parlé en même temps ! Nous nous sommes vraiment exprimés l'un après l'autre ! (Sourires.)
M. Novelli, secrétaire d'État chargé notamment du commerce et des petites et moyennes entreprises, nous expliquait, il y a deux jours, que le Gouvernement a parfaitement pris la mesure de la crise qui touche le secteur de l'industrie automobile, ce qui, en soi, pourrait être une bonne nouvelle. En témoignerait à ses yeux la tenue des états géné...
Je serais tenté, monsieur le ministre, de vous demander si vous êtes d'accord avec cette pensée profonde de M. Devedjian. Vous n'avez tiré aucun enseignement de ces préventions ; sans avoir procédé à la moindre évaluation comme à votre habitude ! des mesures déjà prises, vous nous proposez désormais de valider l'accord de soutien à la fili...
Voici un amendement beaucoup plus original, mais je ne suis pas certain, hélas, qu'il retienne davantage l'attention de M. le ministre À regarder M. Woerth, d'ailleurs, je remarque un air de cousinage avec M. Juppé. Cette ressemblance n'est pas seulement physique ; elle tient aussi, comme nous l'avons vu en plusieurs circonstances, à leur mani...
Vous n'êtes tout de même pas contraint de porter des bottes armées d'une tige de fer ! Faites donc preuve de davantage de souplesse, et surtout d'une meilleure écoute à l'égard des parlementaires ! L'amendement n° 45 vise à ce que les salariés des entreprises du secteur automobile bénéficiant des crédits d'État perçoivent 33 % des profits géné...
Il y a un problème, madame la présidente : nous avions l'habitude de voir les élus de la majorité et les membres du Gouvernement se prosterner devant le Président de la République, l'aduler, l'adorer, et répéter à l'infini ses formules sans pour autant y croire, bien entendu ! Certes, il n'est pas nécessaire de croire pour répéter.
Vous avez copié le centralisme démocratique : le système sarkozien est aussi démocratique que le centralisme du même nom
.et promis au même avenir, monsieur Censi : la chute ! Hélas, une faute peut être commise une fois par ignorance et en pure bonne foi, mais quand on la répète, on est complice, et coupable ! Le Président de la République a proposé le principe de la répartition en trois tiers. Nos concitoyens doivent donc savoir que, dès qu'il s'agit de transfo...
Et l'acoustique y est excellente !
Espérons que cette opération sera moins aventureuse que celle de l'Imprimerie nationale, et moins coûteuse pour les finances publiques ! À cet égard, j'attends toujours une enquête préliminaire à l'initiative du parquet, car jeter 300 millions d'euros pas la fenêtre mérite pour le moins explications et vérifications. Je vous rappelle que la com...
Sans doute aussi la commission des finances, en liaison avec la commission des affaires culturelles et pour prolonger le travail de la MILOLF, doit-elle s'efforcer d'améliorer la lisibilité de la politique des grands établissements, y compris pour ce qui touche à la rémunération des grands chefs que nous installons à Paris pour un certain temps...
Ce n'est pas Carlyle !
La lumière a été faite à la bougie !
Ou dans de très rares cas ! (Sourires.)
Obama est un bolchevik !
Nous n'avons pas entendu le rapporteur général crier au scandale à propos de la décision de la Chambre des représentants, ni annoncer que ces pauvres capitalistes américains seraient obligés de s'exiler en Suède, comme il nous l'a dit hier en parlant de ces Français qui n'ont aucune fibre patriotique. Monsieur le ministre, vous avez évoqué l'a...
En effet, et je pourrais continuer d'égrener ce chapelet d'avanies. En tout état de cause, si ces quatre dirigeants avaient une once de morale, ils démissionneraient, ne serait-ce que par respect pour les clients de leur banque. S'agissant des centres financiers que l'on appelle pudiquement « non coopératifs », quand allons-nous enfin mettre d...