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Non, elle existe encore !
de l'avoir créée !
Très bien !
Le bon père François !
Comme les écoles et les hôpitaux ?
Oh ! Je me pince !
Monsieur le ministre, je vous remercie, d'avoir fait référence à mon intervention. Cela prouve qu'elle était bonne. (Sourires.) Cependant, avant de préciser quel sera notre vote, puisque je ne l'ai pas fait à la fin de mon intervention, permettez que je vous réponde. Il n'y a plus d'argent dans les caisses, avez-vous dit. Évidemment, vous les ...
des actionnaires, des plus riches et des grandes sociétés. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.)
C'est de leur part l'hommage du vice à la vertu. Vous ne pouvez pas, monsieur le ministre, vous prévaloir des turpitudes de M. Monti, de Sainte Angèle de Germanie et de quelques autres pour justifier les vôtres ! (Protestations sur les bancs du groupe UMP). Nous, nous faisons des choix : ce ne sont pas les vôtres. Votre aplomb, monsieur le mi...
qui, plein de componction avant de prononcer l'extrême-onction, parle d'enrichissement de la fonction publique après avoir appauvri les fonctionnaires ! Quelle est en effet la situation de nos écoles, de nos hôpitaux ? L'avenir, ce n'est pas la réduction du nombre de fonctionnaires. Il faut des enseignants dans nos écoles, mais on ne peut pas...
Vous venez de décider d'augmenter de 24 000 places le nombre de places dans les prisons.
Comment ferez-vous pour garder les prisonniers si vous ne créez pas de postes ? La ligne de rupture ne passe pas entre les peuples, pas plus qu'elle ne passe entre les fonctionnaires et les salariés du privé. Elle passe entre ceux d'en haut et ceux d'en bas. Nous, nous sommes avec ceux d'en haut pour faire rendre gorge (Rires et applaudissemen...
..nous sommes pour accompagner ceux d'en haut jusqu'aux bureaux de la perception pour qu'ils rendent gorge, et que nous ayons les moyens de financer les politiques publiques que vous ne cessez de passer à l'essoreuse (Exclamations sur les bancs du groupe UMP)
au risque de remettre en cause le contrat social issu du Conseil national de la Résistance. Je sais que pour vous, ce sont des gros mots (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.) Pour nous, c'est l'héritage de la nation auquel nous sommes tant attachés,
ce vieux contrat qui a été conclu dans les rangs de la Résistance sur la base du patriotisme et qui unissait, à l'époque, gaullistes et communistes, ces gaullistes que vous reniez aujourd'hui et que nous sommes fiers de défendre. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.) Même si nous ne partageons pas toutes leurs idées, nous leur reconnais...
Le groupe GDR s'abstient. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.) (L'ensemble du projet de loi est adopté.)
Nous sommes confrontés à un problème très particulier. Dans les faits, madame la secrétaire d'État, il s'agit d'une adoption : cette situation en a toutes les caractéristiques, même si l'acte juridique qui en est à l'origine, ne relevant pas de notre législation, ne peut être ainsi qualifié.
C'est un état précaire, que celui de député ! (Sourires.)
Mais, encore une fois, dans les faits, les enfants qui sont confiés à une famille française respectent tous les critères de l'adoption et n'ont plus de rapports familiaux avec leur terre d'origine. Je ne suis pas juriste, madame la secrétaire d'État, mais nous faisons ici la loi pour la France
et nous n'avons pas à nous déterminer par rapport à un droit d'essence religieuse. La France est un pays où la laïcité a valeur constitutionnelle. Il faut donc en tirer toutes les conclusions. Bien sûr qu'il faut respecter les accords internationaux, à condition qu'ils ne soient pas contraires à notre droit. Dans les faits, les enfants dont i...