11490 interventions trouvées.
Je sais bien que je vous fais mal en retournant le couteau de la plaie, mais vous reconnaîtrez que c'est justice que d'y prendre un certain plaisir. Que pèse cette bagatelle de moins de 4 millions d'euros d'économie que vous nous proposez en regard de ces milliards d'euros engloutis en cadeaux à votre clientèle ? Votre indignation est sélecti...
Deux cent cinquante-neuf millions d'euros dépensés dans l'achat de l'Airbus présidentiel : on n'en parle pas. Et nous pourrions évoquer les gaspillages qui ont été dénoncés par notre collègue René Dosière. Votre projet de loi, qui se veut symbolique et que vous présentez comme ambitieux, n'est que le symbole d'un manque de cohérence et de séri...
Ce n'est pas de la démagogie, c'est le reflet du réel. Pourtant, monsieur le ministre, vous êtes originaire d'une région dont les habitants sont attachés à la justice, à la morale. En défendant un tel projet, vous faites mal à vos concitoyens alsaciens !
Eh bien vous devriez faire honneur à vos concitoyens en soutenant les propos que je tiens et pas cette justice dont je parle. D'une certaine manière, vous leur êtes infidèles jusqu'au jour où ils vous feront des infidélités aux élections, et vous l'aurez bien mérité. Mes chers collègues, il est aujourd'hui nécessaire de remettre à plat le fi...
et de s'attacher, en somme, à ce que l'aide publique aux formations politiques soit conforme à ce que peuvent légitimement en attendre nos concitoyens en termes de respect de toutes les sensibilités. Monsieur de La Verpillière, vous nous dites qu'il ne nous restera pas grand-chose. Je vous recommande de regarder comment, en dépit de la censur...
Bettencourt !
Béni-oui-oui ! Godillot !
Il n'a pas l'air très convaincu !
Honni soit qui mal y pense !
Encore un gauchiste ! (Sourires.)
Ça suffit comme ça, les louanges !
Vous avez des lettres latines !
Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, nous examinons ce soir un texte cher à son auteur et rapporteur, Bernard Carayon. Je ne suis pas sûr qu'il mérite toutes les louanges dont il a été l'objet.
On était un peu sur le mode : « passe-moi le séné, je te passe la rhubarbe ». Bernard Carayon milite depuis des années pour la reconnaissance du droit au respect du secret des affaires et la sanction de sa violation. Le renforcement de la protection juridique de nos grandes entreprises est un enjeu d'intérêt général, en particulier face à ceu...
ou pour rattraper les délocalisés fiscaux comme Yannick Noah, Alain Delon, Sébastien Loeb ou Charles Aznavour...
Ce n'est pas une marotte mais la réalité ! Je sens bien, à force, que j'égratigne vos chastes oreilles dès lors qu'il s'agit de dénoncer les voleurs. Mais il faut appeler un chat un chat. Alors que tous les citoyens doivent payer l'impôt, certains s'en dispensent. Je reviens à notre sujet. Les cas de divulgation d'informations ou renseignement...
et que les contes d'Alice au Pays des Merveilles n'étaient plus d'actualité. Et quand nous assistons à un tel échange de politesses, vous savez bien, monsieur Jacob, vous qui êtes un vieux routier plein d'expérience, que c'est immédiatement suspect : la mariée est trop belle pour qu'il n'y ait pas un défaut quelque part. Nous savons en effet ...
Vous pensez à l'affaire Karachi ?
Squarcini ! (Sourires.)
J'apprécie beaucoup le sous-amendement de notre collègue Le Fur. C'est dommage qu'il attende la fin de la législature pour faire preuve de résistance face à ce qu'il a appelé quelle audace ! « l'impérialisme américain », terme qui a été repris par notre collègue Carayon. C'est une vraie conversion révolutionnaire à laquelle nous assistons l...